Chère petite maman, Tu es tout sauf petite. Tu es grande, voire immense, et ta force est aussi gigantesque que l’amour que tu portes à ton bébé. Toi, celle qui est passée à travers toute la gamme des émotions. Toi, celle pour qui la famille est si importante. Toi, à qui ce rêve d’être maman Lire la suite…
Étiquette : désespoir
Je suis une maman et j’ai voulu mourir
Aujourd’hui, je m’adresse à toi, celui ou celle qui juge le suicide en général et plus spécifiquement celui des mamans sans essayer le moindrement de comprendre la détresse de la personne à l’origine du geste. J’étais comme toi avant. Le suicide allait totalement à l’encontre de mes valeurs. Je me disais qu’il était impossible qu’une Lire la suite…
Petite maman, ce ne sera pas toujours comme ça
Quand tu rentres de l’hôpital avec ton nouveau-né et que tu es assaillie de doutes chaque fois qu’il pleure, craignant de ne pas être à la hauteur et te demandant parfois secrètement si tu n’as pas fait une erreur, j’aimerais que tu saches que ce que tu ressens est normal et que ce ne sera Lire la suite…
J’ai un besoin viscéral d’avoir un enfant
Chéri, J’ai un besoin viscéral d’avoir un enfant, donc ce soir on procrée. J’avais tout planifié au millimètre près et rien ne va arriver comme je le souhaitais parce que ça fait déjà trop de cycles qu’on manque notre shot; je ne serai pas enceinte en même temps que mes amies, notre bébé ne naîtra Lire la suite…
Hier, tu m’as dit que tu avais voulu mourir
Hier, tu m’as dit que tu avais voulu mourir et tout en fixant les marques sur ta peau, je me suis demandé où j’avais été tout ce temps. Hier, tu m’as dit que tu avais voulu mourir et quand j’ai réalisé à quel point la douleur devait couler fort dans tes veines pour que tu Lire la suite…
À toi qui cherche désespérément un homme, tu vaux tellement plus que ça
À toi qui cherche désespérément un homme, tu vaux tellement plus que ça. Plus que ce désespoir qui t’habite et qui rend ta solitude honteuse. Plus que ces soirées que tu passes à essayer désespérément de te faire « aimer » par de parfaits inconnus, à travers des textos remplis de fautes de français. Plus que ces Lire la suite…
À toi, la maman monoparentale en peine d’amour
Je le sais que ça fait mal. Que ça te coupe le souffle. Je sais combien tu y as cru et combien tu tombes de haut maintenant. Je le sais que ça fait mal. Que c’est souffrant physiquement et que ça te fait perdre tes moyens. Que ça t’empêche parfois de t’occuper de tes enfants Lire la suite…
Je n’en peux plus
Je n’en peux plus. Je n’en peux plus de me lever chaque matin. Je n’en peux plus de remplir le paquet de responsabilités qui m’incombent. Je n’en peux plus de répondre aux besoins de l’un et aux demandes de l’autre. Celles des enfants. Celles de mon boss. Celles de mon chum. J’en ai par-dessus la Lire la suite…
Ta dépression : mon amour, je suis désolée
Entre deux lunchs et la vaisselle hier soir, tu m’as annoncé que ça n’allait plus. Je ne l’avais pas vu venir bien que j’avais constaté un certain détachement de ta part ces temps-ci. J’avais aussi fermé les yeux sur ton irritabilité, me disant que ton manque de sommeil et notre routine effrénée de vie y étaient Lire la suite…
Tout finit par passer, ma belle maman
Ma belle maman, Tu sais que la vie comporte son lot d’épreuves mais bien souvent, tu n’en vois pas la fin. Tu y penses le soir dans ton lit, comme un fil qui se déroule à l’infini. Tu te demandes comment tu vas réussir à passer à travers une autre journée, une autre semaine, une Lire la suite…
J’ai de la peine pour toi, mon amie
Ma belle amie, je pense beaucoup à toi depuis hier. Parce que hier, quand je t’ai entendue au bout du fil, j’ai senti dans ta voix que quelque chose n’allait pas. Depuis le temps qu’on se connaît et avec toutes les histoires à travers lesquelles on est passées, disons que j’ai pas besoin d’un rapport Lire la suite…
Manipulée
On a tous un ou une amie qu’on aimerait voir plus souvent. Des gens qu’on aime, mais avec nos obligations quotidiennes, c’est difficile de trouver du temps pour les voir. Ça, c’est normal. Mais y’a aussi ceux qu’on aimerait voir se sortir de ce qu’ils vivent. Tu le vois, c’est clair pour toi. Tu lui Lire la suite…
Lettre à toi, mon amie qui a perdu un enfant
Ma belle amie, Le jour où tu m’as raconté ton histoire, j’ai tout de suite su que j’avais devant moi un spécimen rare de femme forte. Et j’ai tout de suite su que je t’adorerais pour ça. Tu étais presque à terme de ta deuxième grossesse, tu voyais poindre au loin le fil d’arrivée d’une Lire la suite…
La revanche de papa : moi, le papa payeur de pension
Les temps sont gris ici et j’ai besoin d’aide. Je suis ce bon père. Aimant, vaillant, le coeur sur la main. Celui qui s’oublie et qui est premier répondant aux besoins de son entourage. Je suis un homme de peu de mots car ce sont mes mains et mon coeur qui parlent pour moi. Je Lire la suite…
Quand tu es à bout de souffle
Ton cadran sonne. C’est le matin, déjà. Ton cœur se serre juste d’entendre cette sonnerie, pourtant douce. C’est que c’est le signe qu’une autre journée commence et tu n’es pas prête. Tu snoozes quatre fois, repoussant le moment fatidique. Mais tu dois faire face à cette journée. Tu dois te lever. Tu entends déjà tes Lire la suite…
Sois forte
Mon amie, ma sœur, ma complice, Je sais que ça ne va pas depuis quelque temps. Je le vois à la nuance bleutée ombrageant ton regard jadis enjoué. Je le vois aux larmes séchées sur ta joue que tu tentes en vain de me cacher. Je sais que ce n’est pas facile, que tu ressens Lire la suite…
Ce baby blues
Le baby blues serait dû à un débalancement des émotions suite à la chute d’hormones après l’accouchement. En général, il s’estompe après deux semaines de détresse psychologique plus ou moins intense selon chacune. En tout cas, moi, j’y ai goûté. Ma grossesse était planifiée, désirée et assumée même si je sniffais presque mon Diclectin en mettant Lire la suite…
Ces moments pénibles
Tu pensais avoir tout vu, tout expérimenté avec ton Fiston. Le terrible terrible two, le mordage d’amis à la garderie, le bacon au centre commercial, à l’épicerie pis dans l’entrée avec un suit d’hiver sur le dos, sans oublier l’éprouvant fucking four. Tu pensais que t’avais donné, que t’avais fait ta part et dans ta Lire la suite…
Ma fausse couche
C’était une nuit de juin. Je m’en rappelle comme si c’était hier. Je me suis réveillée en sursaut. Il y a quelque chose qui n’allait pas. Et ça concernait le petit être qui sommeillait en moi. Je le sentais, je le savais. Ont alors commencé les tiraillement dans le bas de mon ventre et les saignements Lire la suite…