poutine indienne

Poutine indienne

Cette poutine indienne est une excellente variante de la poutine traditionnelle ! En remplaçant la sauce brune par une savoureuse sauce au cari et en ajoutant des tomates et des herbes, cette recette propose une version à la fois délicieuse, dépaysante mais aussi plus légère de la bonne vieille poutine !

2 portions

Ingrédients

400g de frites surgelées (ou des frites maison ou du restaurant qui seront encore meilleures !)
250g de fromage en grains
1 tomate épepinées et coupée en dés
1 cuillère à soupe de persil haché
1 cuillère à soupe de ciboulette finement ciselée

Pour la sauce

3 cuillères à soupe de beurre
3 cuillères à soupe de farine
3 cuillères à soupe de poudre de cari
2 tasses de bouillon de poulet
1 cuillère à soupe de sauce soya
1 cuillère à soupe de vinaigre de cidre
Sel et poivre au goût

Étapes

1. Faire cuire les frites selon indications fournies sur l’emabllage.

2. Dans une casserole à feu moyen, faire fondre le beurre puis ajouter la farine et fouetter jusqu’à ce que le mélange soit homogène.

3. Ajouter le cari et continuer de fouetter 30 secondes supplémentaires.

4. Verser progressivement le bouillon de poulet tout en fouettant pour éviter la formation du grumeaux.

5. Ajouter la sauce soya, le vinaigre balsamique et poursuivre la cuisson en remuant jusqu’à ce que la sauce épaississe.

6. Réduire à feu doux, laisser mijoter trois ou quatre minutes, goûter la sauce et ajouter du sel et du poivre si désiré.

7. Servir les frites dans deux bols, recouvrir de fromage en grain et napper de sauce.

8. Ajouter les tomates et les herbes et servir immédiatement.

Crédit : Photo générée par Midjourney à titre informatif seulement

La Parfaite Maman Cinglante

Blogueuse à temps plein, adepte du sarcasme et toujours à la recherche du sujet qui te fera sourire ou grincer des dents selon ton humeur et la mienne, je suis maman d’un garçon et belle-maman de deux enfants. Entre une partie de Nintendo Switch avec ma petite colonie, un souper aux chandelles avec mon homme et une soixantaine d’heures quelques heures de travail hebdomadaires, je carbure aux défis et je m’arrête parfois pour manger, dormir et pour me rappeler de respirer.

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