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Les 10 affaires que personne ose te dire

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On le sait toutes, on se fait enfirouaper dans toutes sortes de gamiques publicitaires qui nous promettent toujours le meilleur, le bonheur, la libération, la santé et l’énergie. 

Mais si on nous disait les vraies affaires ? T’sais, la réalité de la situation avec des enfants, la famille, le barda, le stress. Les communications pourraient être pas mal plus crues, pis on saurait à quoi s’en tenir.

Voici donc les dix affaires que personne ose te dire, faute d’honnêteté.

#1  Si les bulletins de maternelle étaient honnêtes, ça dirait : “ Votre fils Nathan tourne en spinnant juste d’un bord pendant toute la récréation et sincèrement, tous ses dessins de maisons ressemblent à des pénis.”.

#2  Si la facture au service à l’auto du McDo était honnête, ça dirait : “Tu penses qu’on ne le sait pas que les deux trios quart-de-livre que tu viens de commander, ce n’est pas pour les flos en arrière, mais juste pour toi? ».

#3  Si la facture de ta boutique chic de produits relaxants était honnête, ça dirait : “Voilà tes bulles d’huile aromatisée à la lavande, framboises et patchouli, un cadeau cher de toi à toi, pour le bain chaud que tu pourras prendre quand ça fera assez longtemps que ton huile va sentir rance comme un vieux restant de beurre”.

#4  Si la facture du Dollarama était honnête, ça dirait :”Merci d’avoir acheté la moitié de notre rayon de jouets pour garnir vos sacs de remerciement pour les amis invités à la fête de votre enfant. Voulez-vous qu’on les mette dans un sac ou voulez-vous tout de suite les ranger dans la craque du banc d’en arrière de votre voiture où ils seront oubliés pour les prochains six mois?

#5  Si la facture à la pharmacie était honnête, ça dirait : “Même si vous venez de dépenser trente piastres pour tout ce qu’on avait de médicaments au raisin pis à la gomme balloune, oui, votre enfant va encore avoir l’air encore trop poqué pour aller à la garderie demain matin, pis disons-le… ça va vous coûter une journée sans solde.”.

#6  Si la facture à l’animalerie était honnête, ça dirait : “ Pis, on a l’tour de rendre les p’tits minets pas mal plus cute que des poissons rouges, hen? Il nous fera maintenant plaisir que tu débourses quarante piastres pour acheter la poche de bouffe  “9 vétérinaires sur 10 le préfèrent” pour un bébé animal qui va te demander le peu de sanité qu’il te reste.

#7  Si le relevé de ton compte de banque au guichet était honnête, ça dirait : « Arrête de te commander des maudites cochonneries chez Amazon, pis tiens, v’là une série de coupons pour du Kraft Dinner; c’est pas comme si tu avais prévu investir pour leur acheter des sushis à soir de toute façon. ».

#8  Si ta facture de chez Tim Hortons était honnête, ça dirait : “Tu te fies vraiment à une couple de bines grillées pour enlever les beaux cernes en dessous des yeux que t’a laissés gracieusement la fée pochette ces dernières nuits?”.

#9  Si les lettres d’invitation aux réunions de parents d’école étaient honnêtes, ça dirait : “Siouplaît, siouplaît, pleaaaaaaase! Y’a absolument personne qui veut venir s’emmerder à nos réunions, mais on connaît les bassesses que tu peux faire pour un beigne pis un café gratos.”.

Et puis sur le certificat de naissance de tes enfants, s’ils étaient honnêtes, ils diraient : “Voici votre passe pour des années de manque de sommeil, d’inquiétude, de remises en question et de gestion de crises. Par contre, nous garantissons une fierté et le bonheur profond de les avoir pour le restant de votre vie”.

Isabelle Martineau
Crédit : Ruigsantos/Shutterstock.com

Isabelle Martineau

Je suis la maman co-parentale d’une belle grande fille de dix ans qui a compris sur le tard comment l’abeille cruise le chou. J’ai passé une bonne partie de ma vie sur les bancs d’école - faut les mettre à quelque part ces restants de Juicy Fruit-là. Je me promène entre la recherche scientifique et l’administration et entre les deux, je demeure à Québec dans ma première très humble et petite maison. J’attends impatiemment l’adolescence pour débattre, tourner les crises en beaux fous rires et sacrer les p’tits garçons en bas de la galerie.

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