skeptical boy

7 réflexes maternels inutiles

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On a beau dire qu’on ne naît pas maman, qu’on le devient… il y a quand même de ces réflexes qu’on a presque toutes. Un genre d’instinct. On n’y pense pas trop, ça se fait tout seul … Par contre, je me questionne sérieusement sur l’utilité de certains de ces petits gestes de notre quotidien ! En voici quelques-uns.

#1  Quand ton enfant vomit

Ton garçon ne file pas. Tu es en train de le bercer tout doucement quand tu sens que la catastrophe s’en vient. Tu l’éloignes de toi, face vers l’avant. Au moment où ça sort, tu mets bêtement ta main dans l’espoir de … dans l’espoir de quoi, dis-moi donc ? T’assurer que ça revole encore plus ? Hypothéquer une de tes mains (ou les deux, si comme moi t’as le réflexe vraiment génial de faire un bol …), comme ça t’es vraiment mal prise ? C’est plate à dire, mais si ça t’arrive et tu n’as pas le temps de courir jusqu’au bain, le mieux que tu puisses faire c’est de prendre tes deux mains pour lui flatter le dos en attendant que la tempête passe.

 #2  Quand ton enfant passe proche de tomber

Ton petit singe aventureux s’amuse dans le module de jeux au parc. Il met un pied dans le vide, il bascule et s’échappe de toi ce fameux « iiiiiiiihhhhh » …. qui ne change pas grand-chose à la tournure des événements. Ça ne l’empêchera ni de tomber, ni de se faire mal s’il tombe. Que veux-tu ? C’est plus fort que toi.

#3  Quand ton bébé pleure

Parfois, ton bébé se met à pleurer, mais tu es occupée. La vaisselle, la couche de ton plus vieux, ta douche, name it. Comme tu ne peux pas prendre ton rejeton et le consoler là là, tu laisses aller un long «ssshhuuuussh » bien intentionné. Plus tu es loin dudit bébé, plus tu le fais fort. Pour que l’effet calmant soit le même, t’sais ! Mais, à moins d’être ce fameux docteur des internets qui calme les bébés en trois secondes et quart, ça va probablement en prendre un peu plus que ça pour calmer ses pleurs.

 #4  Quand ton enfant éternue

Depuis sa naissance, tu soulignes chaque éternuement de ta fille (ou presque) d’un « Apitchoum » aigu. C’est comme ça, et tu ne sais pas pourquoi !

#5  Quand ton enfant n’écoute pas

« Mon lapin, viens ici, s’il te plaît. »

« Benjamin, je t’ai demandé de venir ici. »

« BENJAMIN TROTTIER. VIENS ICI. TOUT DE SUITE. »

Plus tu répètes une consigne, plus tu hausses le ton. Et à chaque fois, tu gardes espoir que l’écoute de ta progéniture soit proportionnelle au nombre de décibels employés. Mais non. Même pas proche.

 #6  Quand tu viens d’endormir ton enfant

Après deux histoires, une tonne de câlins, un verre d’eau, une chanson, un réarrangement complet des toutous et un pyjama moins chaud, tu réussis enfin à endormir ta charmante princesse. Comme tu n’as pas envie de recommencer, tu prends ton temps pour sortir de sa chambre sur la pointe des pieds, en reculant.  Pourquoi tu te donnes autant de trouble ? À moins d’être un ninja, tu le sais bien que tu vas piler sur LA latte qui craque ou sur un jouet qui va se mettre à faire du bruit.

#7  Quand ton enfant fait une bêtise

Tu surprends ton deuzans en train de « flusher » ses Hot Wheels dans la toilette et tu ne peux t’empêcher de lui demander pourquoi il a fait ça. Faut croire que malgré les « Je ne sais pas », les « Parce que » et ses yeux piteux de chat botté, tu as encore espoir un jour d’obtenir une explication un tant soit peu satisfaisante à ce fameux « pourquoi ».

Et toi, fille, c’est quoi ton réflexe de maman qui ne sert à rien ?

Crédit : Kadrik/Shutterstock.com

Marie-Ève

Maman de « fausses » jumelles de 4 ans qui se ressemblent pourtant comme des vraies et d’un garçon de bientôt 2 ans amoureux des tracteurs et de toute activité impliquant un risque élevé de blessure, je suis fan de petits bonheurs simples tel que laisser sécher ma vaisselle propre au lieu de l’essuyer, « oublier » de donner le bain aux enfants ou boire une bonne gorgée de café froid. D'un naturel organisé et patient, je choisis toujours de voir le verre à moitié plein et de prendre les hauts et les bas de la vie avec humour.

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1 Comment

  • Étendre mon bras quand je dois freiner brusquement… Ils ont beau être « taper » dans leur siège sur la troisième rangée de banquette de la mini fourgonnette, si un cave me « break dans la face », j’étends mon bras et je lâche un « Eh punaise de pas fin! » ?

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