À toi, l’adulte qui n’a pas d’enfant

À toi, l’adulte qui n’a pas d’enfant,

J’ai pas mal de choses à te dire.

Premièrement, si tu n’as pas d’enfant par choix personnel, je te dis bravo. Bravo de ne pas avoir mis un enfant au monde pour les mauvaises raisons. En plus, je vais t’épargner le classique « Tu vas changer d’idée avec le temps » et le populaire « C’est parce que t’as pas rencontré la bonne personne ». La vérité, c’est que c’est ton droit le plus absolu et fondamental de ne pas vouloir d’enfant.

Si tu n’as pas d’enfant parce que tu ne peux pas à en avoir, j’en suis sincèrement désolée. C’est un bonheur dont aucun coeur ne devrait être privé.

Si tu n’as pas d’enfant mais que tu en veux, que le timing n’est simplement pas bon ou que la deuxième entité qui en permettrait biologiquement la présence est absente pour le moment, je te dis de ne pas lâcher. Malgré ce que tu pourras lire ici, les enfants, c’est magique. Personne d’autre ailleurs ne réussira jamais à te faire passer d’un état de bonheur absolu au plus grand moment de colère de ta vie. Promis. Un vrai tour de magie.

Ceci étant dit, j’ai envie de t’expliquer certaines choses qui t’échappent peut-être.

Premièrement, j’aime beaucoup quand tu viens chez nous. C’est peut-être moins exotique que d’aller souper en ville, mais c’est pas mal plus simple que de faire garder les enfants un samedi soir. À l’occasion, prendre de l’air loin de ma famille ne me fait pas de tort, mais je dois quand même te confier quelque chose : même si mes enfants arrivent inévitablement à me tomber sur les nerfs plus souvent qu’autrement, je les aime beaucoup et les semaines passent tellement vite que je n’ai pas le temps de les voir passer. Ceci étant, la fin de semaine, j’ai envie de les garder avec moi et d’en profiter. Et, ne le prends pas personnel, nous inviter chez toi n’est pas vraiment une option. Parce que chez vous, c’est plate. Il n’y a pas de jeux de la Pat’ Patrouille, de poupées ni l’ombre d’un minigo et non, ton vieux jeu de Monopoly défraîchi ne fait pas le poids. Chez vous, tout ce que les enfants trouvent à faire, c’est d’interrompre notre apéro toutes les trois minutes en se chicanant pour passer le temps. Ça fait que, si tu veux me voir, j’aimerais beaucoup que tu considères mes invitations à la maison; en retour, je te promets de sortir de ma grotte avec toi une fois de temps en temps.

Deuxièmement, évite de me donner des conseils sur la façon d’élever mes enfants. Le fait d’avoir gardé ta petite nièce tous les vendredis pendant deux mois ou d’avoir toi-même été un enfant jadis ne suffit pas pour que je t’accorde une quelconque crédibilité quand tu me dis que c’est normal que mon gars n’ait pas envie de manger ses carottes et qu’il demande quand même du dessert parce que toi aussi, quand t’étais petit, t’étais difficile. Et, je voudrais surtout pas que tu le prennes mal, mais ça m’irrite un tantinet quand je te dis que je suis exaspérée parce que mon plus grand ne m’écoute pas, que tu me réponds que je ne suis pas assez constante et que tu te réfères constamment à l’éducation de ton chien pour me donner des exemples concrets. Je te remercie sincèrement de m’écouter et de vouloir me donner un coup de main, mais je préférerais qu’on n’établisse pas de parallèle entre l’élevage des animaux et l’éducation des enfants.

Troisièmement, ne m’en veux pas de parler de mes enfants en continu. Mes enfants, c’est ma vie. J’ai encore les yeux collés quand j’essuie leur caca à 5h30 le matin, je cours le marathon avec eux tous les jours de semaine entre la maison, la garderie et le travail, je passe mes grandes journées à planifier leurs repas, leur horaire, les activités de la fin de semaine et les vacances estivales dans un coin de mon cerveau qui tourne en permanence, je reprends la course infernale à 4h30 et quand ils se couchent, je prépare leur lunch, je plie leur linge, je me couche et j’attends qu’ils soient malades pour ne pas dormir. Si 90% de mes discussions tournent autour d’eux, c’est donc probablement parce que j’y consacre 90% de mon temps. N’hésite toutefois pas à m’entraîner sur d’autres sujets; je ne le dis pas et n’en suis peut-être pas toujours consciente, mais ça me fait aussi un bien fou de parler d’autre chose même si j’ai de la difficulté à le faire par moi-même.

Quatrièmement, je sais qu’il t’arrive de juger mon apparence. De te dire que je me laisse aller. Que je devrais m’entraîner. Ou peut-être refaire ma garde-robe. Sache que je ne manque pas de fierté et il ne va pas forcément de soi qu’une mère a forcément quelque kilos à perdre et/ou une garde-robe défraîchie. Chaque mère est libre de faire ce qu’elle veut mais moi, j’ai choisi mes priorités. Personnellement, je préfère faire la sieste que des abdos quand mon bébé dort et pour le moment, j’aime beaucoup mieux magasiner des vêtements pour mes petits que pour moi. Ça changera probablement mais entre-temps, je m’aime comme je suis; merci de respecter ça.

Cinquièmement, quand je te dis que je suis fatiguée, c’est que je suis littéralement vidée car rien ni personne ne peut préparer quelqu’un à ne plus dormir que une, deux ou trois heures d’affilée pendant des mois. Ceci étant dit, quand je te dis que je suis brûlée, c’est d’empathie que j’ai besoin, pas de « fallait y penser avant de faire des enfants » ou « c’est toi qui l’as bien voulu ». Ça ne m’aide pas.

Sixièmement, les avis divergent sur la question mais personnellement, je ne suis plus fan des visites à l’improviste. Mon horaire est rodé au quart de tour, les siestes sont des périodes sacrosaintes pendant lesquelles je ne veux surtout pas que mes enfants soient réveillés par la sonnette de la porte et je n’ai pas toujours l’énergie d’accueillir qui que  ce soit. Même pas le livreur de Purolator. Ceci étant dit, s’il-te-plaît, texte-moi avant de passer et je te confirmerai si c’est un bon moment ou non pour moi. Et si ce n’est pas un bon moment, ne le prends pas personnel; ce n’est rien contre toi.

Finalement, je voulais te dire que je t’envie. Souvent. Je me demande ce que ça fait d’aller chez Costco et de sortir avec une facture de moins de cinq cents dollars. En fait, je me demande ce que ça fait de ne pas avoir besoin d’aller chez Costco tout court. J’ai oublié l’effet que ça fait de rentrer du travail et de préparer le souper dans le silence absolu, avec un verre de vin, sans être interrompue par une horde d’enfants affamés déguisés en Spiderman, Hulk et la Reine des neiges qui courent dans la cuisine sur la trame sonore de la chanson thème de l’émission pour enfant du moment. Je ne me souviens plus du goût d’un café bu chaud de la première à la dernière gorgée ni de la dernière fois que j’ai fini le chapitre d’un livre d’un trait. Ni de la dernière fois que j’ai veillé passé onze heures sans anticiper le fait que 5h00 du matin allait me rentrer dedans comme un jet en route pour me défoncer le crâne. Oui, il m’arrive parfois d’envier ta liberté absolue.

Mais, il faut croire que devenir parent doit faire sauter quelque chose quelque part dans l’hémisphère gauche du cerveau parce que je n’échangerais ma place pour rien au monde.

Maude Michaud

Fondatrice de la plateforme La Parfaite Maman Cinglante et auteure, j’adore informer, divertir et partager mes réflexions sur la parentalité mais aussi une multitude de sujets qui touchent les femmes de près et de loin.

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157 Comments

  • Salut ! Très bel article qui résume bien notre quotidien 🙂 (je suis père de 3 filles — 6, 4, 2)

    • Moi j’ai adoré ton texte!

      Je me reconnais dedans, mais je me reconnais aussi en tant qu’ancienne adulte sans enfants! Je lis les commentaires et je me reconnais dans tout ceux qui sont frustrés par ton texte!

      Ça me frustrait tellement de me faire dire « tu comprendras quand tu auras des enfants ». Maudit que ça me choquait. Parce que moi, je sais c’est quoi, j’ai gardé beaucoup quand j’étais petite!

      Mais y’a une chose que certaines personnes semblent oublier: avant d’avoir des enfants, on a TOUS été sans enfants! On a TOUS vécu les 2 scénarios! Ça me fait penser a Jeanette Bertrand qui a écrit un livre sur la vieillesse en disant: les jeunes qui écrivent sur la vieillesse ne connaissent rien, ils ne l’ont jamais vécu!

      Donc oui, c’est vraiment frustrant se faire dire ça, mais c’est ça pareille!

      Pis y’a RIEN qui compare ça a autre chose dans la vie! Même pas une job de 50000 heures par semaine ou faire 6 baccs en même temps, avoir 18 chiens (come on) ou faire de l’insomnie, non mais désolée!

      Y’a rien qui te prépare a ça! C’est pas une question de temps de sommeil ou de temps libre, c’est une question de responsabilité, qui ne partira JAMAIS, de manque de sommeil oui mais de l’éveil constant, avoir la santé physique, psychologique, le bien être d’un être humain au complet jour après jour après jour après jour après jour … y’a pas une situation dans la vie qui te prépare a ça a part être parent!

      Pis oui, on assume notre choix certe, mais assumez votre choix de faire un bacc/detravailler trop/whatever aussi.

      C’est pas un concours, mais quand une amie se plaint qu’elle est siiiiii fatiguée de sa fin de session après avoir mit une photo de son drink de la soirée d’avant, je suis désolée mais dans ma tête ça ne concorde pas. Si t’as pas d’enfants, pis que t’es fatigué, va te coucher tout simplement! Y’a personne qui dépend de toi, tu peux faire c’que tu veux alors pourquoi te coucher tard si c’est pas parce que c’est ton seul moment seul de la journée?

      • Tout le monde a le droit d’exprimer sa fatigue, parent ou pas. Ça me fait rire cette compétition de « qui est le plus brûlé.  »
        Nous vivons deux réalités, qui sont des CHOIX personnels. Est-ce qu’on peut continuer à exprimer nos états sans devoir se retenir parce que l’autre, à fait le choix d’avoir des enfants? L’amitié, c’est partager… c’est comme s’il ne fallait pas exprimer nos frustrations de couple parce qu’une amie est célibataire, ou qu’il ne fallait pas dire qu’on a faim parce que l’autre est au régime.

      • Je n’ai jamais dit le contraire! Je n’ai jamais dit qu’un a plus le droit d’être fatigué que l’autre, j’ai dit que je ne comprends pas comment on peut se plaindre d’être fatigué quand on peut aller se coucher au lieu d’aller voir un drink, tu vois?

        Je m’en fou que l’autre soit plus ou moins ou égal fatigué. Mais pour moi, se plaindre c’est déja pénible si en plus tu le fais quand c’est de ta propre faute et qu’EN PLUS tu vas te plaindre a quelqu’un qui risque de trouver que t’es « chanceux » …

        C’est exactement la même chose que si je vais me plaindre a une amie qui peine a arriver a la fin du mois que ça me stresse, que je suis super cassée pis que j’ai peur de ne pas arriver au bout du compte parce que je me paie des soupers au resto tous les soirs. C’est pas mal l’équivalent. J’aurais droit d’être stressée, mais en même temps …

    • Aller vivre en tant qu’enfant dans une famille où il y en a 11 ! Pas d’argent, seules les baffes étaient les meilleures caresses par contre les torgnioles nous faisaient voir parfois des étoiles, aucun de mes frères et soeurs n’étaient proches de mon âge d’où que je me suis trouvé dans le trou de l’isolation, pas de discussions, obéissance et se taire ! Vous tombez de votre vélo et vous vous écorchez le genou ? Obligé de faire semblant d’être le blessé dans un vague jeu cow-boy et d’indiens ou de soldat . Vous pleurez de douleur ? Allons un grand soldat ne pleure pas ! Que feras-tu quand t’ira à l’armée ? Et si avait la guerre ? Pan sur la gueule ça t’apprendras ! Pour rappel cela se passait dans ma famille ainsi qu’à l’école où on n’aimait déjà pas les enfants de famille nombreuse et ce dans les années 60-70 … l’adolescence arrive … pas question de s’intégrer dans un groupe de jeunes du même âge que moi car ces jeunes étaient promis à devenir des universitaires car toujours plus intelligents que moi et bien-sûr plus fortunés que moi ! A les entendre leurs vies à ceux-là se résumaient par les 3 B c-à-d boulot, boire, baise . Moi c’était les 3 A c-à-d arbeit, arbeit und noch arbeit ! D’où relation très tardive ou plutôt nul avec les filles s’ajoute alors à cela le calvaire du puceau qui doit toujours se justifier du fait que comment se fait-il qu’à 20 ans tu n’as pas encore … isolation de nouveau heureusement qu’il y a des bordels pas trop chers en Belgique pour des handicapés comme moi-parole d’un psy je vous jure!-Cela dit je ne suis pas anti enfants quel bonheur d’avoir vu ce petit bout de choux de ma soeur cadette grandir chez mes parents heureusement les autres frères et soeurs étaient soit mariés ou en ménage ce qui laissa de l’espace VITAL ! Que dire de plus ? Oui pour une famille saine où tout le monde peut s’épanouir sainement; non à des familles yper nombreuses où vous étouffez et crevez à petit feu ! PS Dieu merci mes parents n’étaient pas buveurs, non fumeurs, non joueurs, non arnaCoeur, non arnaqueur etc et pourtant que de dégâts dans la vie personnelle et intime car nous étions des enfants élevés sur le tas, les 2 ou 3 premiers étaient désirés, le reste est venu du fait d’une parole étrange et destructrice « croissez et multipliez-vous »

    • J’aime que les femmes aient le droit d’être parfois froidement dures et qu’elles puissent l’assumer. Sinon, la fin résume tout: l’auteure nous envie mais préfère sa vie …Elle est mieux AVEC des enfants que sans. Je ne dis pas que je sais ce que cela suppose au quotidien d’avoir des enfants et je ne nie pas que la vie de mes amies mères soit fatigante…cela dit, c’est leur vie…et, puisqu’on parle de supporter les plaintes des autres, peu importe leur degré de fatigue ou de stress, je suis parfois aussi indifférente à leurs plaintes qu’elles le sont sûrement aux miennes, c’est comme ça…chacun(e) se preserve en refusant d’être pollué(e) par les autres! Mais qu’on aille pas me dire qu’on aimerait ma vie de « no child » alors même qu’on est uniquement tournée (vie quotidienne oblige je ne dis pas) vers sa vie de mère et qu’on en tire visiblement toute sa fierté (à juste titre sûrement).

  • Si je comprends bien, on gagne le droit d’être fatigué juste quand on a des enfants?

    Toi, t’as des enfants, moi, non, mais j’ai peut-être des problèmes que toi t’as pas.

    C’est pas un concours où seule la personne qui a la pire situation a le droit de parole. Chaque personne a une vie différente pis, quand quelqu’un feel pas, ben tu peux pas lui dire qu’il a pas le droit d’en parler parce que toi, t’as une situation ben pire.

    Je pourrais aussi te dire que c’est toi qui devrait arrêter de te plaindre que t’es fatiguée parce que c’est TOI qui a choisi d’avoir des enfants. « T’avais juste à pas choisir ça », que je pourrais te dire. Mais je te le dis pas, parce que je comprends qu’on a tous une vie avec des choix à faire pis que des conséquences viennent avec chacun de ces choix-là. Pis quand ya des bouts où ça va plus mal, ben on est content que la personne à qui on se confie nous écoute. Pis quand on veut que les autres nous écoutent, ben y faut que ça aille dans les deux sens.

    • Je pense que tous et chacun ont le droit d’être fatigués pour 1001 raisons. Mes textes sont humoristes, cyniques et ne font pas dans la nuance; s’ils rapportent en partie la pensée de bien des parents sur plusieurs points à certains moments de leur vie, je pense qu’il faut savoir les nuancer et les prendre avec autodérision comme un petit clin d’oeil et non comme une grande claque 🙂

      • C’est pas tous qui le prenne avec de lautoderision dans ceux qui partage l’article et qui sont parent.

      • Tu es tellement à côté de la track!! Si tu te sens pas belle à côté de certaines, c’est ton problème de confiance ou de fierté. À moins que les dites belles te passent des remarques négatives? Je connais des « pétards » qui ont 50 ans, qui ont eu 3 enfants, s’habillent chez Wal-Mart et l’Aubainerie, mais ont juste ben ben du style. C’est quoi au juste le sens de to massage? Pourquoi t’adresser aux « sans enfants »?

      • Moi non plus je ne T envies pas D avoir des enfants. Je dirai même que je M en fiche. Et que les gens sans enfants ne sont pas forcément des modèles de magasine de mode avec des portefeuilles bien gonflés, qui dorment jusqu’à 10 h tous les we. Loin de là. Je dirai à toi L adulte avec enfants, que tu L as choisi! Et que C est ta vie. Et que non il N y a pas que ça de magique dans L existence….

      • J’ai apprécié ton article mais je crois qu’il faut nuancer! Au lieu de boire un drink toi tu écris tes articles alors que tu pourrais prendre du repos (sauf si tu écris tes articles avec tes enfants courant tout autour de toi) et personne ne t’y oblige non plus (à moin d’en vivre) donc tu pourrais aussi aller dormir à ce moment-là et ne pas prendre l’excuse des enfants pour tes heures de sommeil en retard.
        Ensuite pour toi la seule alternative à se coucher tôt quanf on a pas d’enfant c’est d’aller boire un drink? Et si justement ce drink c’est le seul bon moment de ta journée et que ce n’est pas parce que tu t’es couchée tard la veille pr boire ton drink que tu es fatiguée, mais simplement parce que ton boulot lui t’a épuisée toute la journée ou que tu ne dors pas car ta mère est hospitalisée ou… et si il y avit aussi celles qui triment le soir car elles n’ont pas le choix et ne peuveny concilier leur boulot aux horaires décalés avec une vie de famille digne de ce nom?
        Je pense que juger hâtivement les gens, dans les 2 sens, est mauvais pour tout le monde.
        Perso je n’ai pas d’enfant tu t’en doutes et je pense en avoir un jour en tous les cas j’aimerais ça mais je doute encore. Mais pour le moment je n’en ai pas donc oui parfois ça m’énerve de me voir infliger des choses ue je n’inflige à personne.

      • Votre texte est une HONTE et rabaisse au plus bas les gens qui n’ont pas d’enfant !
        De plus, sachez que certaines personnes sans enfant sont fatigués, car elles vivent une vie qu’elles souhaiteraient meilleure (avec des enfants par exemple !!!) mais qui ne l’est malheureusement pas ! Et ça c’est épuisant moralement ! En fait je dirais même qu’elles ne vivent pas, elles survivent….

      • Si tu as besoin de justifier ton texte, c’est que c’est mauvais, désolée.

    • On a le droit d’être fatigué si on a pas d’enfant, on a juste pas le droit de se plaindre par ce qu’.on est fatigué à cause de certaines futilités

      • ben la rendu là, enfant ou pas dans la vie faudrait arrêter de se plaindre pour des futilités.

      • J’ai 62 ans. Je n’ai pas eu d’enfant car j’ai eu une hystérectomie à l’âge de 30 ans à cause de l’endométriose. Pendant très longtemps j’ai souffert physiquement et mentalement du fait de ne pas avoir d’enfants; je me suis fais à l’idée à la longue. Je ne t’envie pas du tout aujourd’hui car vous pensez parce que vous avez mis des enfants au monde que vous êtes des reines et que tout vous est dû. Change ton discours jeune femme, j’ai peut-être pas eu d’enfant mais j’ai du vécu et mon expérience est aussi bonne que la tienne; mon opinion compte autant que la tienne. Je suis enfin à la retraite depuis 1 an et je n’ai jamais cessé de travailler depuis l’âge de 16 ans. Oui, moi aussi j’étais fatigué de me lever à 5:30 AM tous les jours et de me rendre au travail. Aussi fatigué de voir que ceux qui ont des enfants ont toutes les raisons de manquer le travail à cause de leurs enfants; moi je devais aller travailler même si mon conjoint était malade avec le cancer pendant plus de 9 ans. Mais je n’ai rien écrit sur un blog pour me faire valoir. Je me suis fais souvent dire que je ne comprenais pas car je n’étais pas une maman ou comme ma sœur aimait me le mettre sur le nez, que je ne comprenais pas ma mère car elle seule pouvait la comprendre car elle était une mère. Aujourd’hui je suis seule, veuve, pas d’enfant et surtout personne qui s’occupera de moi dans ma vieillesse. Est-ce que je t’envie?….. Oui! Je te souhaite que tes enfants prennent soin de toi quand tu seras veille; au moins tu auras ta récompense. En attendant, arrête de penser que tu es la meilleur, la plus fine, la plus belle. Facile de juger les autres quand on ne connaît pas leur raison.

      • si, on a autant le droit de se plaindre de certaines futilités…tout comme le font certains parents

    • Je suis tout à fait d’accord avec toi!! Quand je suis fatiguée (Je travaille de nuit et la vie social est pas toujours facile) on me dit souvent: attend d’avoir des enfants tu vas te trouver une bonne raison d’être fatiguée. Quoi? Je peux pas être fatiguée aussi??

      • Tu peux être fatiguée aussi, mais rien ne t’empêche d’aller te coucher 😉

    • Merci sincèrement!!! Votre réponse est pertinente. Avoir des enfants est un choix en effet. Certaines personnes pour vivre cumule plusieurs boulots et oui ils sont fatigués même sans enfants!!!!!

    • j’ai travaillé temps plein en finissant mon bacc, fait des semaines de 60 heures, fait un burn-out mais rien n’a pu me préparer à la fatigue d’avoir un enfant. C’est une bonne fatigue par contre dans le sens qu’on se sent heureux de le faire et ça contribue à notre  »pyramide de Maslow », mais ça reste de la fatigue. C’est quelque chose que je ne pouvais pas comprendre avant de le vivre.

    • Merci! Simplement merci pour cette bonne réponse 🙂 D’une fille sans enfants qui est gêné de dire qu’elle a eu une mauvaise nuit!

    • j’ai tellement entendu ça souvent, c’est toi qui a choisis d’avoir des enfants, tes contraintes de temps, ça te regarde, trouve une solution…

    • Plein toi à d’autre qu’à quelqu’un qui a plusieurs enfant… ce plaindre d’être fatigué quand on est célibataire sans enfant dans la 20aine, c’est comme se plaindre d’avoir perdu 20$ quand tu gagnes 100 000$ par année… tu as le droit d’être en crisse et de trouver que ça scrappe ta vie ce 20$ la, mais c’est possible que tu te fasses envoyé chier par quelqu’un qui gagne juste 20 000….

    • Salut, je trouve que t’as bien raison. J’ai pas d’enfants, par choix et oui je suis brûlée par moments aussi. Je suis présentement en dépression avec des idées suicidaires, je dors mal, j’ai toujours un mal de tête/migraine, je rush au bureau et je passe toute mon énergie à essayer survivre là bas car la job est pas mal la seule chose qui me tient en vie et qui me change les idées. Faq oui, moi aussi j’ai le droit d’être fatiguée, mais pas pour les mêmes raisons. Oui j’essaie de faire attention et ne pas trop en parler devant mes amies mères et je suis chanceuse d’avoir des amies qui n’ont pas d’enfants, elles me comprennent bien, surtout avec ce que je vis en ce moment. Vivre avec un perpétuel mal de vivre, c’est lours croyez-moi. Les personnes joyeuses ne me croiront pas mais c’est vrai. Bonne soirée!

      • Votre message m’interpelle avec vos idées suicidaires…..Est ce que je peux vous aider?

      • Non, merci bien. Je consulte un psychologue et j’attends des nouvelles de ma clinique afin d’obtenir un rv en urgence car je devrai reprendre de la médication, ayant cessé d’en prendre il y a plus d’un an car je trouvais que j’allais bien. Je ne peux pas mettre fin à mes jours car ma mère ne s’en remettrais jamais, je ne peux pas lui faire ça. Mais je n’ai jamais été chanceuse dans la vie et j’ai eu un dur départ, suivi d’embûches de toute sorte et la vie, je ne l’ai jamais aimée. Mais nous pourrions peut-être discuter, vous comprendriez pourquoi je vis avec ce mal de vive intense et perpétuel. Ça me ferait du bien de parler avec une personne inconnue, j’imagine.

      • Ben, lis plus des blogues qui se nomment genre « parfaitemamancinglante »?

        Tu peux bien traiter les autres de chialeuses!

      • J’espère que tu parles avec quelqu’un de tes idées suicidaires… ne reste pas seule avec cela… n’hésite pas à consulter un psychologue. Bonne chance. Dis-toi que la dépression se guérit tu vas t’en sortir..

    • Je suis totalement d’accord! Le nombre de fois que je me fais dire « ouin mais toi t’as pas d’enfants » WHO CARES? Je suis infirmiere temps plein, je vais a l’universite temps plein, on a une maison, 4 husky, 2 chat, je m’entraine, mon chum et moi on joue au dek, on a des milliers de projets ETC, fak « crisser moé » la paix avec votre « t’as pas d’enfants »‘ merci bon soir!

  • Le père semble absent dans votre monde, car à 2 c’est mieux. J’ai 4 enfants mais nous sommes 2 parents à se splitter la fatigue et toutes les tâches

    • c pas ca qu on dit…. c est juste que l’orsque l’on devient parent my god que le feeling de la fatigue prend un tout autre sens lollll J’pense que c’est border line à la limite qu’un humain peut endurer hahaha le someille est vital… pis parfois bin on pense mourir tellement on est brûlé lolll tu comprends… c est comme une grosse coche au dessus lolll mais ca passe… 😉 pas facile les nuits blanches en back a back heyy boboye …. juste l’opinion d’une maman de 4 mox qui n’ont pas fait leurs nuits avant 7 mois pour la plupart lolll bonne journee 😉

      • C’est pas juste ça non plus … quand t’as pas dormi parce que X (insomnie, études, whatever) le lendemain la journée est rough mais c’est ça. A la limite tu vas aux toilettes pis tu te ferme les yeux 3 minutes …

        La c’est qu’en plus de la fatigue accumulée (honnêtement je t’envie qu’ils les aient fait a 7 mois! haha) t’as des marmots qui demandent de l’attention le lendemain … tu peux pas aller aux toilettes tranquille 3 minutes, il faut les surveiller avec attention parce que leur vie peut même en dépendre parfois! Ils demandent a manger quand même et autant d’attention que si tu avais dormi une nuit normale, ils s’en foutent que maman soit fatiguée! lol

  • Bien oui et j’aimerais bien savoir tu dirais quoi à une femme qui aura bientôt 40 ans et qui n’a pas d’enfants parce que la vie a été cruelle avec son système reproducteur? Il y a de ces journées dont je rêve d’être fatiguée parce que mon bébé fait ses dents ou a des coliques. Aller jouer au parc ou faire une fête d’enfants au Mc do, assister à un spectacle de danse ou aller au karaté. Bien non, malheureusement, je n’aurai jamais cette chance … Donc, si vous avez envie de vous plaindre de votre rôle de maman, bien faites le, mais n’oubliez pas que certaines femmes ne sont pas mères et qu’elles ne le deviendront jamais.

    • Et voilà! Sans enfants par circonstances de la vie et pas par choix…Ça m’a pris des années à faire mon deuil. Aujourd’hui l’acceptation est faite et je m’accomplie autrement. Bravo aux chanceux qui ont pu avoir des enfants, mais ne crachez pas votre venin sur ceux qui n’en ont pas.

  • J’aime beaucoup ta plume en passant, j’adore te lire. Mais en en tant que fille célibataire qui a beaucoup d’amis avec des enfants, j’aimerais partager mon opinion sur certains faits.

    D’abord, je trouve dommage de nous réduire de cette façon. Je ne comprends pas pourquoi les parents ont tant se besoin parfois de se justifier et de nous lancer ça dans le visage comme si notre vie n’était pas légitime. Comme si nous les célibataires on passait notre temps à vous dire O combien on n’échangerait pas notre vie pour la vôtre. J’ai jamais entendu ça, mais venant des parents je le lis au moins une fois par semaine. Sincèrement, j’aimerais savoir pourquoi? Est-ce pour vous convaincre que vous avez fait le bon choix ou seulement parce que vous aimez pavaner votre bonheur infini devant les autres? Dans aucun des cas cela est justifiable. C’est condescendant et non-nécessaire.

    Vous parlez de vos enfants tout le temps et nous le tolérons. Mais ne viens pas me dire de me taire par la suite, comme si ma vie était moins intéressante. Et puisque vous parlez de vos enfants à 90% du temps, mais que nous n’en avons pas, peut-être que les suggestions que nous faisons sont seulement par politesse pour essayer de s’intégrer à la conversation et non pour vous dire quoi faire. À la limite, nous faisons un effort pour s’intéresser à votre vie, je ne peux pas en dire autant de vous les parents.

    Et le fait de dire que parfois tu nous envie mais que tout au long de ton texte tu mentionnes ne vouloir faire aucun effort pour un minimum de plaisir autre que familial, je trouve ça spécial. En fait, mes amis qui sont parents que je préfère, sont de loin ceux qui malgré qu’ils ont une famille, n’ont pas oublié qu’ils avaient aussi des amis et qu’il est aussi possible d’apprécier la vie quand les enfants se font garder ou lorsqu’ils sont endormis. Je crois même que c’est saint de sortir une fois de temps en temps, de se faire belle ( sans dépenser des tonnes d’argent). Et je crois que ce sont ces personnes qui ne ressentent pas le besoin de se justifier de leur choix d’avoir des enfants et de nous faire sentir comme si nous ne valions pas grand chose, parce que nous n’en avons pas. Nous ne vous jugeons pas, au contraire, alors ce n’est pas nécessaire d’être désagréable en retour. En fait, les parents sont les pires pour se juger entre eux.

    Le seul but de ma réponse est de vous faire comprendre, vous les parents, que je comprends tout à fait le bonheur que vous avez d’avoir des enfants, mais ce n’est pas nécessaire d’insulter les non-parents au passage. Et un peu de tolérance de votre part ne serait pas de trop. Nous faisons beaucoup de compromis pour nous ajuster à votre vie parentale, mais peu d’efforts sont faits par les parents pour leurs amis qui n’en ont pas.

    • Je suis maman de deu petit garçon et je suis juste 100% daccord avec ce que vous avez écrit!! Me faire belle et sortir avec mes amies ca me fait un bien fou! J’ai déjà « pas eu » d’enfants et j’étais hereuse, comme je le suis aujourd’hui mais autrement! Juste pour vous dire que, dans les deux « camp », on est pas tous les mêmes 😉

    • Parfaitement en accord! Je suis mère de deux enfants et voir mes amis me permet justement de me mettre belle et me changer les idées car il est hors de question que je vais parler de mes enfants pendant que j essaie de me faire du bien. Je suis tannée d entendre des commentaires concernant les parents qui sont des supers héros parce qu’ils ont des enfants.. Un instant.

    • Ton commentaire reflète exactement ce que je pense. Tu n’aurais pas pu mieux l’exprimer. J’ai la chance et le privilège d’être maman depuis deux ans et, même si ça m’arrive d’être fatiguée, je ne vais pas mépriser les gens qui n’ont pas d’enfant comme s’ils devaient se sentir coupable d’exister ou encore gênés d’avoir du temps pour dormir… Nous avons adopté après de longues et douloureuses années et je me rends compte que ce sont des discours égocentriques comme ceux-là qui rendent l’expérience encore pire.

    • Merci pour ton commentaire. j’ai été ménopausée à 28 ans , suite à des chimiothérapies + greffe de moelle et aujourd’hui je ne peux plus avoir d’enfants. Toutes mes amies en ont maintenant et j’essaie de m’adapter au mieux , m’intéresser comme je peux à leurs conversations de parents… trouver le ton juste , sans donner de conseils car bonjour les regards…Je sais qu’elles ne me posent pas forcément des questions en retour. Je me dis que vu notre age maintenant, d’ici 10 ans leurs enfants seront tous adultes et qu’enfin elles en parleront moins (ca commence déjà car passées 35 ans , elles commencent à vouloir se refaire des soirées tranquille , sans leurs enfants et maris). Quoiqu’il en soit, je n’ai pas d’enfant et ça n’est pas par choix… Suis-je moins mature ? moins responsable ? (mon conjoint est divorcé et m’a dit que mettre sur son CV qu’il était pere de deux enfants faisait plus mature). Aujourd’hui, s’il me reste une part de regrets, c’est par rapport à ma mère… Je sens que ma belle-soeur et elle partagent beaucoup plus de choses car elles sont mère: le fameux « clan ». Mais je sais que ma mère m’aime. quoiqu’il en soit, il y aura toujours des clans, avec tous, leurs avantages et leurs inconvénients; Aujourd’hui je paierais tres cher pour pouvoir avoir le bonheur des nuits blanches etc.. Car j’aurais un enfant par choix, en conscience des avantages et des inconvénients et ca, je suis prete , avec la maturité à l’assumer sans me plaindre. Il y a bien deux mondes , oui et merci aux parents fiers de l’être, de vous intéresser à la race des non parents…nous avons aussi des choses à apporter !

  • Ah ah c’est vrai que c’est cynique, mais si telle est la ligne directrice de ces articles alors je comprends mieux, il manquerait un peu d’humour pour faire passer le 2nd degré à mon goût, cela reste très hargneux.

    Il y a d’autres raisons que les enfants pour être fatigués, et justement comme tu le dis tu ne changerais pour rien au monde la vie avec tes enfants. Tout le monde est libre de se plaindre (futilité ou non) même si c’est désagréable. Je remarque souvent qu’à force d’écouter quelqu’un se plaindre soit on acquiesce on comprend mais si cela devient pesant on a comme un besoin de « surenchérir ». Voilà peut-être une raison pour laquelle ton amie « sans enfant » se plaint auprès de toi, elle en a marre de t’entendre te plaindre ou alors elle marche tout simplement dans ton attitude. Il faut observer notre propre comportement pour comprendre les agissements des autres qui ne sont que réactions. Bref dans le cas où vous vous plaignez mutuellement je ne vois pas pourquoi l’une devrait être plus coupable que l’autre… même si les plaintes ne sont pas du tout équivalentes, réciprocité d’un comportement 🙂

  • J’aime beaucoup l’humour derrière ce post….:) Toutefois, je trouve dommage l’image généralisée des ‘non parents’ qu’il contribue un brin à perpétuer… Ce ne sont pas tous les ‘non parents’ qui sont habillés en carte de mode, qui ont le brushing à point en tout temps, qui se plaignent des corneilles qui les empêchent de dormir, qui passent leur temps dans les 5-7 et, le pire, qui donnent des conseils à leurs amies mamans… Je connais des mamans qui sont bien plus habillées et bien plus ‘sorteuses’ que d’autres non mamans, qui voyagent plus, etc. Il faut faire attention aux généralisations… Ceci dit, je lève mon chapeau à tous les parents pour tous les sacrifices qu’ils font…. Mais je lève aussi mon chapeau aux sacrifices que font les aidants naturels qui prennent soin d’un proche souffrant, aux bénévoles qui donnent tant à la société sans gagner un dollar, aux entrepreneurs qui travaillent 90 heures semaine pour faire marcher leur petite entreprise locale si appréciée, aux personnes souffrant d’un handicap qui doivent toujours s’adapter, aux personnes souffrant de troubles de santé mentale qui font encore face à tant de préjugés, etc. Bref les parents, vous êtes admirables dans tout ce que vous donnez, c’est vrai… Mais plusieurs ‘non parents’ le sont tout autant! 🙂

    • c’est tellement vrai ! C’est juste que quand tu deviens parent tu t’attend à être fatigué, mais tu réalises alors que tu peux atteindre un niveau de fatigue dont tu ne soupconnais même pas l’existence lol, qui n’est même pas comparable a n’importe qu’elle fatigue de n’importe qu’elle autre situation de la vie parce qu’elle n’a pas de pause… Le genre de fatigue ou tu mets en doute ta survie…désolé les ‘pas parents’, mais essayer de vous expliquer cette fatigue serait comme essayer d’expliquer les couleurs a un aveugle de naissance…

      • Après ça reste de la fatigue hein ! C’est pas un cancer non plus …..

      • Une personne écrit: ce n est pas le cancer non plus…. merci. Parce que je trouve quand même de très mauvais goût ce monopole de la fatigue…. il y a aussi des problèmes de vie, d emploi et de santé qui créent de l fatigue… à moins que l on pense que tous les non parents travaillent 35h, ont une famille bien portante et ne sont eux même pas malades, forcément…. mais il y a des personnes qui non, ne peuvent pas se coucher quand elles veulent parce qu il y a des vraies urgences (je pense aux soignants par exemple), il y a des conjoints de malades psychiatriques,il y a des personnes sans enfants qui luttent contre des cancers…. si quelqu’un un veut me dire que c est moins fatigant, ok……. mais je crois que c est de mauvaise foi et de mauvais goût

  • Ouff! Qu’il y a du me, myself and I dans les commentaires. On voit tout de suite quand les gens écrivent… »on a pas le droit d’être fatigué si on a pas d’enfants? » Heille! j’ai eu des enfants et j’ai pas dormi pendant des années mais je suis aussi en affaire et j’ai mes problèmes aussi et la seule chose que je peux te dire c’est que si tu as des enfants et que tu n’as pas dormi, demain matin, tu n’auras pas juste de toi à t’occuper contre si tu n’as pas dormi ou est fatigué à cause de d’autres problèmes, tu as juste de toi à t’occuper, là est la différence mon cher pis ça, tu ne pourras jamais le comprendre car tu n’as pas choisi d’être parent en plus des autres problèmes…mais moi, je vois grandir mes enfants et non un chien et ça, c’est totalement différent !!

      • Hmmoui, vous direz ça aux aidants naturels, ils vont adorer. On est toujours l’égocentrique de quelqu’un hein.

    • Ce qui vous échappe, c’est que beaucoup de gens sans enfant n’ont justement pas fait ce choix… C’est la vie qui a décidé pour eux. Je vois beaucoup plus de me myself and I quand des mamans se plaignent de leur quotidien, alors que bien des femmes feraient n’importe quoi pour être à leur place et vivre la maternité.

    • Et qui a dit que demain la personne qui a des problèmes pourra se reposer? Peut être que ses problèmes vont durer des annees, non? Plus longtemps que l enfance de tes enfants peut être? Et oui, il faut parfois réfléchir avant de lancer des sentences

  • Franchement, je suis un peu tannée de lire ce genre d’articles.
    Ça me semble être un fameux « vouloir le beurre et l’argent du beurre ». Tu voulais des enfants, ça vient avec la fatigue, les nuits blanches, les chicanes. Ce n’est pas facile, j’en convient. Mais tu ne peux pas demander à tous le monde de s’ajuster à TON mode de vie. Alors si ta copine célibataire arrive avec son nouveau kit, ses beaux cheveux soyeux. tu peux lui dire que tu es verte de jalousie. Que tu t’ennuies de ces temps ou tu pouvais toi aussi dépenser ta paye a La Baie et dormir jusqu’a midi. Tu as le droit. Sauf que tu a fait d’autres choix dans ta vie. TES choix, à toi. Alors, t’as le droit de parler de tes enfants sans fin, de te pointer au souper de filles avec un chandail taché d’une substance louche, d’être cernée jusqu’aux oreilles. Si tes amis en sont des vraies, elle vont t’accepter comme ça. (C’est ce que je fais avec les miennes, même si bien des conversations finissent par « Je sais pas quoi te dire pour t’aider, mais je suis là si t’as besoin »). Sauf que tes amies pas d’enfants, elles ont de le droit d’être fatiguées parce qu’elles ont travaillé toute la semaine, se sont couché tard, whatever! Elles ont le droit d’être inquiètes à propos de leur job, de leur mère, de leur chien. C’est pas parce qu’on a pas d’enfant qu’on a rien dans la vie.
    Et je te rassure, moi non plus, je n’échangerais pas ma vie pour la tienne. C’est ça la beauté de l’affaire; chacun vit selon ses règles. Suffit de se respecter les uns et les autres.

  • Ouff! Moi aussi je tannée de lire ce genre de texte. J’ai des enfants et ce n’est pas toujours facile, mais j’ai vécu sans enfant longtemps et je trouve que les parents se plaignent beaucoup de leur vie, au lieu de l’apprécier. Tu t’attendais à quoi? Que toutes tes amies qui n’ont pas d’enfants t’écoutr parler de ta vie terrible en ne disant rien qui risque de t’insulter au cas ce serait moins pire que ce que tu vies? Que d’avoir des enfants ne changerait rien dans ta vie? C’est à toi d’essayer de mettre en œuvre les moyens d’avoir la vie que tu veux et d’arrêter d’envier les autres. Mes copines et moi, on a des enfants pour la plupart et une fois par mois on se met belle et on va prendre un verre. on fait pas sentir celles qui n’ont pas d’enfant comme des moins que rien. On écoute leur point de vue extérieur qui peut être très intéressant aussi.

  • Suite à la publication de mon dernier article, j’ai reçu beaucoup de commentaires de gens qui n’ont pas d’enfants et qui étaient frustrés par mes propos. On m’a dit que mon texte était hargneux et on m’a demandé d’arrêter de jeter mon venin sur les gens qui n’ont pas d’enfants. Les mots, ça peut être interprété de toutes sortes de façons et je suis désolée pour ceux qui n’ont pas senti la généralisation volontaire, le cynisme et l’humour dans mes propos. Afin d’éviter toute méprise, je déclare donc officiellement que tout le monde a bel et bien le droit d’être fatigué et de se plaindre pour rien sans risque d’emprisonnement et je proclame que je m’assume 100% dans mon rôle de parent, au bout de mon rouleau des petits bouts, comme on l’est tous un jour ou l’autre, mais toujours heureuse !

    • Bonjour,

      J´ai lu votre texte, en pensant rigoler …mais au final, il m´a profondément exaspérée et attristée, car présentant beaucoup de clichés et renvoyant tellement à l´absence d´enfant: non, les adultes sans enfant ne passent pas leur temps à se plaindre. Au contraire, souvent, ils souffrent en silence. Et quand ils vous disent qu´ils sont fatigués, c´est peut-être parfois en raison d´une immense fatigue morale, qu´ils n´ont pas choisie..
      Et non, les personnes sans enfant ne rêvent pas forcément de sortir dans des endroits chics. Ils seraient même souvent ravis de passer des soirées avec des familles…si ces dernières ne passaient pas leur temps à leur dire qu´ »ils ne peuvent pas comprendre car ils n´ont pas d´enfant »!
      Combien de fois ai-je dû entendre les plaintes de fatigue de la part de ceux qui ont des enfants, alors qu´ils ont pourtant fait le choix d´en avoir?
      Et pensez-vous une seule seconde à la fatigue que peuvent éprouver les femmes qui aimeraient tant être mamans, et qui n´y parviennent pas? A celles qui doivent subir traitements sur traitements médicaux pour parvenir à devenir mère?
      Et elles ont aussi d´autres problèmes, des factures, des soucis de santé, un boulot, qui peuvent les fatiguer, non??
      Vous êtes fatiguée par vos enfants? ok, mais vous les avez désirés, alors assumez, au lieu de toujours dire que ceux qui n´en ont pas « ne peuvent pas comprendre »…c´est pénible de lire ou d´entendre ce genre de propos!
      Est-ce-que ceux qui n´ont pas d´enfants viennent vous dire que vous ne pouvez pas comprendre ce que c´est que d´en vouloir sans y parvenir?
      Il n´y a rien de plus énervant que ce genre d´article, quand on essaie désespérément d´être maman. Alors, si, on est aussi fatiguée que vous, car oui parfois on se couche tard, pour oublier l´absence d´enfant. Si, on est aussi fatiguée, car moralement c´est très dur, et parfois, on ne peut pas dormir non plus.

  • Hahah! Oh boy, je suis contente d’avoir des bons amis/amies et des amis/amies geeks!
    Sincèrement, je ne vois pas ce genre de pression autour de moi et dans un bon français «I don’t give a fuck» de ce que mes amis avec des enfants peuvent avoir l’air!
    Le problème, c’est peut-être le monde autour de vous, non? Ou bien tout simplement la pression que les mères se donnent à vouloir toujours atteindre la perfection (je vais probablement être comme ça!). À un certain moment donner, il faut savoir décrocher.
    Mes amis/amies qu’ils soient parent ou non, s’en foutent de ce que tu peux porter, s’en foutent de ce que ta maison à l’air, s’en foute de ce que tu manges… Ils sont là parce qu’ils aiment ton amitié et ta personnalité. On a probablement tous les yeux pochés à la fin de la semaine, que ce soit à cause des soirées de gaming qui ont duré trop longtemps, des enfants ou même comme moi, des soirées à travailler à sa deuxième job un 8 h, après un chiffre de 8 h à sa première job.
    Bref, on s’en fou! On s’en fou tant que tu ne portes pas de jugement sur notre propre vie, ou que tu nous jalouses ouvertement parce qu’on a décidé d’attendre un peu plus longtemps avant les enfants ou tout simplement de passer à côté. C’est ton choix, c’est mon choix, c’est une question de respect.

    • allo

      tu sais être une mère ou un père seul relève parfois de l’exploit et rien ne peu vous enlevez cela. Je n’ai moi-même pas d’enfants pour des raisons que je garderai personnelles et je me demande toujours ou les gens trouve la force de passer au travers quand bien même est-ce ton choix. Si des gens te réponde ainsi c’est surement qu’il n’ont pas le sentiment du devoir accomplie et cherche a ce justifié et se protéger a travers ton texte par contre je sens dans ton texte un refus au bonheur personnel mais personne n’est mauvais parents a se faire du bien ou as-tu hérité des habitude ancienne ou la mère devait être tout. il y a toujours de la place pour soit peu importe ce que tu en dit. être mère ce n’est pas un sacrifice mais plutôt un privilège qui ne fait pas de toi une esclave pour autant, tes enfants ne seront pas moins tannant ou moins aimant. le problème se trouve toujours dans la façon ou ont applique notre sens de la responsabilité parentale soit par peur de mal agir ou de se faire dire que nous somme irresponsable face a nos enfant même que l’amour pour nos enfants peut être malsaine. trop souvent j’ai vu des mères craquer de part cette attitude. Être mère c’est ne pas être parfaite. mais aimante, ce n’est pas abandonner mais plutôt se faire du bien pour nous même par ceque oui nous existons non seulement pour nos enfants mais pour nous aussi et c’est seulement toi qui peu en décider. alors voila. si avoir des enfants et être mère est un choix être encore une femme est aussi un choix a toi de le prendre ou non.

  • J’AI FAIT DE L’INSOMNIE 4 MOIS J’AI DORMI 1H A 2H PAR NUIT DURANT TOUT CE TEMPS LA!!! JE TRAVAILLAIS 55 À 60H SEMAINE DE PLUS.. J’AI DU ME FAIRE ARRÊTER PARCE QUE J’ÉTAIS SUR LE POINT DE PETER AU FRETTE.. ALORS OUI QUELQU’UN QUI NA PAS D’ENFANT A LE DROIT D’ÊTRE FATIGUER ET MÊME SI JE N’EST PAS D’ENFANT JE PEUX COMPRENDS CEUX QUI EN ON PAREILLE… CES INJUSTE DE DIRE QUE LES GENS SANS ENFANT COMPRENNE RIEN… JE SUIS OUTRÉ!!!!

    • My god!!!! C’est vrai! Il es temps que tu sortes du travail. C’est un texte humoristique. Si tu n’es pas capable de faire la différence entre du sarcasme arrogant et juste de l’humour c’est que tu n’es peut-être pas capable de lire un texte adressé au public. Dans vie, fat n’en prendre et en laisser sinon on sera jamis heureux ?

  • Il me semble qu’on pourrait tous respirer par le nez un peu. À mon avis, c’est un texte qui se veut humoristique à prendre avec beaucoup de grains de sel.

  • mettre un enfants au monde pi te tuer apres …. merci maman pour cette vie de merde

  • Pouvons-nous juste prendre ce qui nous plait dans ce texte, trouver que c’est bien écrit? Je suis mère, je ne dors plus, mon entourage sans enfant a le droit d’être fatigué, de se plaindre. Franchement, ce texte m’a fait sourire tant pour son contenu parfois un peu véridique que par son humour. Par moment, on se reconnaît, on reconnaît des amis, on s’imagine que cela peut être nous.

    Vous allez trop loin avec vos commentaires du genre Bravo! Moi, je n’ai pas réussi à avoir d’enfant. Vous sortez complètement du contexte pour exposer sur la place publique votre malheur. Et je suis convaincue que cela en est un. Mais ce faisant, Vous méprisez ceux qui ont des enfants et qui raconte leur quotidien. Honnêtement, je trouve que, ça, c’est moins sympathique que de lire un texte comme celui-ci.

  • Mon dieu que les gens se sentent facilement persécutés….je suis maman de deux enfants 3.5 ans et 13 mois et j’Ai un boulot plutot demandant avec de grosses responsabilités et je suis toujours avec le merveilleux papa…et j’ai aussi par le passé été celle qui travaillait entre 60-110 hrs semaines, qui était brulée par le travail et ce pendant 6 ans…

    Je connais très bien les deux dynamiques et oui tout le monde a droit d’être fatiguée, de la fatigue c’est de la fatigue! Mais malheureusement, il y a sincèrement une différence entre les deux, parce que comme disais une lectrice dans son commentaire, les mamans elles n’ont pas qu’elles a s’occuper le lendemain lorsqu’elles n’ont pas dormi. On a juste pas le choix de prendre soin de petites personnes que sont nos enfants et oui, ils sont plus précieux que la prunelle de nos yeux et oui on a fait ce choix d’avoir des enfants parce que nous avions ce désirent. Mais, c’est dure en maudit…de ne pas dormir plusieurs mois consécutifs pour prendre soin des autres. En tant que mère je suis bien tannée d’entendre le monde dire, bah c’etait ton choix d’avoir des enfants alors plains toi pas…..c’est pas qu’on a envie d’être plaint!! On a juste besoin de savoir que quelqu’un compatie a cette passe plus difficile et parfois même de détresse et que surement les personnes qui nous aimes nous encouragerons….

    Je me rappel tout les gens qui me disais, tu peux pas çomprendre tu n’as pas d’enfant tu comprendras ces quoi ces semtiments que ca procure d’avoir des enfants….je pensais comprendre malgré tout….mais maintenant que j’en ai, je comprends que je voulais au meilleur de moi-même comprendre, mais que le vivre est une chose bien différente et que les sentiments d’amour et de haine envers nos enfants sont impossibles a comprendre sans le vivre. Nous ne sommes pas meilleurs pcq nous sommes parents, les problèmes ne sont pas moins grave pcq nous n’avons pas d’enfants, cependant!!! Nos problèmes sont moins graves au final si nous n’avons pas d’enfant. C’est plate a dire mais c’est vrai….

    Que tu sois célibataire, sans enfants et que tu te casse une jambe, developpe un cancer, perde un parent, que par la bande tu ne puisses plus travailler et payer tes comptes, c’est dramatique vrai, très dramatique vrai, cela peut nous amener loin en tant qu’individu dans la déprime et la dépression, mais vous avez la chance de ne pas avoir des enfants a vous occuper à la maison, vous ne ferez pas d’enfant orphelin d’un parent, parce qu’un enfant dans la vie ca n’a que ses parents comme référence, on ne peut pas juste arreter de l’arroser comme une plante, ou faire euthanasier son chien quand on est tannée, ou se dire pas grave on va sauter un repas, j’ai pas si faim je mangerai demain…c’est une vie duquel on est responsable alors oui c’est différent, les responsabilités sont differentes. On survit comme parent, mais c’est un don de soi qui dépasse l’entendement et qu’une personne n’ayant volontairement pas eu d’enfant ne peut pas comprendre. Et pour celles qui auraient voulu plus que tout au monde un ou des enfants, je suis très triste pour vous, mais ce texte n’a aucune raison de vous atteindres, puisque vous ne faites pas partie des gens sans enfants qui n’en n’aurons pas volontairement. Les priorités changent quand on devient parent…..et c’est tant qu’a moi là ce qui différencie les gens avec et sans enfants….comme ma soeur le wk dernier qui me disait qu’elle hait ca le monde qui veut pas travailler plus et que c’est normal de travailler les fin de semaines en plus de nos semaines normales de 40-50 hrs sem….et moi qui était offusquée de sa déclaration, puisque si je travail autant quelle dit qu’il faudrait je ne verrais pas mes enfants, déjà que je les vois soit 1-2 hrs le matin sinon le soir….c’est déjà difficile…mais se faire dire ca par qq qui n’a pas d’enfant c’est vraiment insultant!!! Parce que pour l’information de tous les gens sans enfants…quand on revient a la maison on travail non-stop jusqu’a ce que toute la marmaille dorment!! Les sans enfants quand arrivent a la maison…peuvent s’assoir confortablement dans le salon, ouvrir la tv avec un verre de vi, prendre une longue douche chaude, se faire un souper sans légumes et apprécier le moment…pas un parents…être parent c’est se sentir coupable de tout….

    Le texte de l’auteur est très drôle et bien écrit, et le chapeau va a qui il va c’est tout.

    • tellement d accord avec vous, j ai longtemps gardé mes neveux alors que je rêvais d avoir des enfants, mais je ne mesurais que très peu ce qui incombe aux parents, cela fait 20 mois que j en prends la vraie mesure! et comme vous le dîtes, j ai aussi peur qu il m arrive quelque chose à moi du jour au lendemain, alors qu auparavant je me disais si ça arrive ce sera juste dur pr mes parents, à présent je me dis je dois vivre le plus longtemps possible pour elle, pr ma puce!

    • Votre témoignage ne donne vraiment pas envie de devenir parent, tout comme le texte original. J’ai l’impression d’entendre ma mère, des plaintes sans fin, comme si ses enfants avaient été des boulets à trainer… C’est triste! J’espère en tout cas que vos enfants ne ressentent pas votre « calvaire »…

  • C’est à se demander si vous voulez vraiment avoir des amis… Si personne d’autre que vous n’a le droit de se plaindre, il ne vous restera pas beaucoup d’amis… Je comprends que ça se veut humoristique et je comprends un peu ce que vous voulez dire, mais je trouve que la façon dont c’est dit laisse un peu à désirer… Je trouve qu’il y a assez de fossés entre les parents et les gens qui n’ont pas d’enfants (par choix ou non). Oui c’est souvent épuisant avoir des enfants, oui il y a plein de choses qu’on ne comprend pas avant d’avoir des enfants, oui il y a des gens qui manquent particulièrement d’empathie, mais tout le monde a ses défis, avec ou sans enfants. Je trouve qu’on gagnerait à rapprocher les parents des non-parents, au lieu de les éloigner. Et ce n’est pas en leur parlant comme ça qu’on va leur faire comprendre quoi que ce soit. Les parents ne sont pas des membres de la royauté qu’il faut prendre avec des pincettes. Et les non-parents ne sont pas des paresseux qui ne veulent rien comprendre. L’humour c’est fantastique, sauf quand ça contribue à creuser des fossés déjà assez profonds.

  • My god est-ce que c’est un concours de celui qui fait le plus pitié ? J’ai bien aimé le texte et je me suis reconnue dans certains passages, je l’ai lu avec humour et légèreté. ..si vous avez tant de commentaires à faire et que vous souhaitez partager votre niveau de fatigue (je parle à ceux qui font des commentaires très peu flatteurs) ecrivez-en un texte qui parlera de votre situation et partagez autour de vous… vous avez aimé ce texte ? Tant mieux, partagez-le… sinon, allez en lire un autre ou mettez vous à l’ecriture…c’est pas un concours de celui qui est le plus fatigué ou le meilleur parent…

  • Pour un texte humoristique c’est pas très drôle. Les gens sans enfants vivent déjà une pression sociale de se reproduire. On va chez vous les Samedi soir pcq vous pouvez n’avez pas de gardienne depuis 5 ans. Desfois on ne se fait pas inviter pcq c’est des soupers de couples avec enfants. Ça va. Sauf que de dire que tu n’echangerais pas ta vie avec la notre pour rien au monde ça sent le mépris. Bravo t’as un enfant. Peut-être que il y’a des célibataire avec plus d’ambition que seulement leur brushing et leur 5 a7 . Peut-être y’a-t’il des gens pour qui leur rêvent n’incluent pas de faire des enfants. Mais ça t’échappe pcq t’u es centré sur ton propre nombril.

  • Pour toutes ces femmes qui n’ont et n’auront pas d’enfants et que ce n’est pas par choix, cet article manque beaucoup de délicatesse et d’empathie (voire très blessant à lire pour certaines, j’en suis convaincue)… Elles troqueraient sûrement votre verre de vin pour des enfants qui courent en hurlant… La prochaine fois que vous voulez étaler avec humour votre quotidien de maman, prenez peut-être une autre cible que la femme sans enfant? Croyez-moi elle se fait rentrer dedans plus souvent qu’à son tour!

  • Ouf… Il y en a tellement qui rêve d’avoir la chance d’avoir un enfant.. Je le trouve hard ce texte.. Il faut être reconnaissant de ce que l’on a!! Non!? ?

  • En tout cas, moi je n’ai pas d’enfants et je suis fatigué à 50 ans. J’ai du remplacer beaucoup de parents absent au travail et comblé leur travail pas faite parce que leurs obligations de parents devaient prendre le dessus et bien sure que vu que j’en ai pas je suis la candidate idéale pour les remplacer à ces moments. Je ne m’en plein pas mais oui je suis fatigué et j’y ai droit. En plus, j’ai choisi un mari qui ne sait pas lever le doigt à l’intérieur de la maison mais il s’occupe de l’extérieur. Donc je cours tout le temps aussi…des course du souper, vaisselle, lavages, préparation des lunchs pour nous deux etc. tout est à moi. Donc je suis fatigué aussi et j’ai droit de l’être. En plus, je suis malade mais ça les parents qui me laissaient devoir finir leur travaille s’en foute aussi car leurs enfants sont plus important que tout et c’est impossible de prendre des rendez-vous les soirs de semaines comme je dois faire chez le dentiste, pour être disponible pour les remplacer au travail et me taper deux fois le travail.
    .

  • Bizarre, je trouve le texte pertinent du point de vue de celles et ceux qui ont des enfants. Le point de vue de celles et ceux qui en ont pas est aussi valable. C’est le contexte de chacun qui ne donne que très peu de sujets de discussion et d’échanges. C’est comme de demander à un prêtre de discuter avec un athé, il n’y aurait que peu de sujets de discussion entre eux. Attention, ceux qui voudraient faire des associations, genre l’adulte sans enfant est l’athé de cette histoire, seraient de mauvaises foi et ne comprendraient pas le sens de mon message. Soyons heureux, c’est tout

  • Bon, ce texte n’est pas facile à lire, parce qu’en tant qu’adulte sans enfant, avec un bagage en études de l’enfant, et en tant qu’humaine qui s’en fout carrément de Michael-quoi? qui préfère les « running shoes » aux talons hauts n’importe quel jour de la semaine, qui regarde les dessins animés… J’ai honnêtement l’impression qu’on dirait que tu écris ça pour certains personnes en particulier? Ou peut-être que c’est juste une impression puisque je fais exception à plusieurs généralités sur les adultes sans enfant que tu mentionnes…? En tout cas, passez une belle semaine !

  • Ah, mais quel beau texte d’appel à la validation sociale caché sous une couverture d ‘auto-dérision plus ou moins efficace! Je sens tellement de frustration dans ton texte que j’ai envie de popper un kid juste pour voir c’est quoi, ÊTRE FATIGUÉE POUR DE VRAI. Ben non, c’est une blague, là. D’un coup que je commencerais à écrire un blogue narcissique pour cracher ma jalousie et ma rancune, j’aurais l’air de n’importe quoi… 😉

  • J’ai lu ton post avec amusement. Je n’ai pas d’enfant, et quand je vois la vie de ceux qui en ont, je suis admirative. Vraiment, toute cette patience, tout ce temps passer à courir pour eux, le fait qu’il soit le centre de la vie des parents et qu’ils s’organisent autour c’est franchement épatant. Personnellement je n’en aurais pas le courage.

    Pourtant l’idée d’avoir des enfants me plait, mais je ne suis pas prête à tous ces sacrifices!!

  • Bref les gens qui n’ont pas d’enfants n’ont pas le droit d’avoir une vie? Je ne suis pas d’accord. C’est du pur jugement. Sans oublier que certaines n’ont pas d’enfants parce qu’elles sont infertiles ou n’ont pas trouvé le bon partenaire. Est ce possible que la personne sans enfants ait une carrière exigente et passe ses semaines à voyager pour son travail? Pour l’avoir fait je sais que c’est ultra exigent et fatiguant. Je suis mère aujourd’hui et les deux types de fatigue ne sont pas comparables, mais bien présents tous les deux. Je trouve que certaines mère se prennent pour le nombril du monde et n’ont pas de respect pour les autres. Cesser d’étaler votre frustration en publique et pensez à la contraception la prochaine fois.

  • Ça pas de bon sens comment je suis tannée de lire des article comme ça. C’est comme si une guerre de  » quel vie est plus fatiguante » avait été déclanchée. Tu ne te réveilles pas un matin avec trois enfants à t’occuper, et en 2016 il y a tellement de ressources pour aider les familles, et tout…

    Le fait de dire que Tous tes amies célibataire ont du cash et du temps pour magasiner, pis se pomponer c’est un peu une généralisation… Parce que c’est pas tout le monde  »célibataire » qui peut tout se permettre avec un salaire unique.
    Je trouve ça plate de voir qu’on est rendu là, à toujours vouloir essayer d’avoir la pire vie pis se plaindre de celle-ci sans en changer la donne. Si on arrêtait de se comparer aux gens en étant jaloux de ci et de ça…

    Chacun fait ses choix, et doit vivre avec les conséquences ( positives ou négatives) sans toujours essayer de pointer son doigt sur d’autre personne qui eux aussi font des choix en fonction de leur aspiration/ passion/ carrière ou juste parce que avoir des enfants c’est pas leur ultime goal dans la vie. Crois moi il y a moyen d’avoir une vie aussi stressante sans avoir d’enfants.

  • À la lecture des nouveaux commentaires, je souhaite réitérer que cet article est une caricature humoristique et que la généralisation et le sarcasme sont mes principaux outils d’écriture. Je suis désolée que certaines personnes s’arrêtent au premier degré de mes propos et croient sincèrement que j’accorde des droits ou privilèges particuliers aux parents ou aux non-parents, ce qui n’est en aucun cas véridict. Je suis d’autant plus désolée de constater que certains font appel à la notion de respect et me reprochent de tenir des propos hargneux en s’exprimant d’une façon d’autant plus irrespectueuse. Je souhaite que tous puissent s’exprimer mais les commentaires irrespectueux seront supprimés. Merci !

  • Bonjour,
    moi il m’a fallu 12 ans pour me decider enfin d’avoir un enfant, apres 12 ans de mariage, la tentation d’avoir un bébé devenait une obssession pour moi, et pour mon mari aussi, heureusement, on a pu avoir sans problème notre magnifique petite fillette de 4 ans maintenant, sans probleme ou presque 🙂 apres une fausse couche, une cézarienne, une grossesse difficile; apres l’accouchement, un peu d’anxiété de déprime aussi, mais ça va mieux apres 4 ans, j’apprend mieux a etre maman 🙂 et c’est la meilleur chose au monde quand ma petite me dit tu es jolie comme un coeur, je t’aime maman.
    elle est le plus beau cadeaux de ma vie 🙂
    merci beaucoup
    et bon courage
    mona

  • Merci pour cet article, il est une description vivante et comique de la réalité des parents de jeunes enfants et du contraste avec la vie des adultes sans enfants!! Mes deux filles sont devenues des ados et maintenant que j’ai un peu plus de recul par rapport à cette étape de ma vie, je m’en souviens comme d’une longue courses à obstacles, toujours à bout de souffle. Et je me demande si ce n’est pas notre mode vie qui pose problème… Doit-on accepter de vivre cette période magique de l’enfance de nos enfants en courant toujours du matin au soir et en leur imposant à eux aussi le même rythme? Je voyage beaucoup en Asie. Là-bas, la réalité des enfants et des parents est très différentes. Plus de temps pour être ensemble, plus de monde autour des enfants (de la famille élargie, des cousins, des amis…). Et il n’y a pas ce fossé entre les « avec enfants » et les « sans enfants »… Les adultes qui n’ont pas d’enfants ont les enfants de leur soeur, de leur frère, leurs frères et soeurs plus jeunes. Personne ne vit « sans enfants » parce que les enfants font partie de la vie.

  • personnellement jadore tes textes jai 2 enfants de 2 et 8 ans que jeleve toute seule et je me reconnais la dedans. mais bien sur il faut savoir prendre tout ca en riant. je parlauis justement avec ma mere aujourdhui avant de lire ton texte et je lui disais que jetais pu capable de mhabiller toute sexy pis toute que je trouvais ca poche detre jamais revenue comme avant mes grossesses mais quand je te lis moi ca me fait du bien parce que jai limpression que je suis pas toute seule a vivre ces situations la. merci et continue tu me fais beaucoup rire et ca me fait du bien

  • Durent plus de deux ans je me suis occupé de ma mère dans la
    Quarentaine qui était très malade. À peine 17 ans et je devais aider ma mère à ce lever le matin, l’aider à ce préparer, l’aider à manger, à ce laver, la promener dans sa chaises roulante une fois les 2 ans passé j’ai du la laisser partir moi qui venait de sortir du secondaire et qui à du travailler pendant que ça mère était malade 50 heure semaine dans une usine d’électroménager et dans une boutique. Lors de son décès je travaillais dans un dépanneur au salaire minimum et je n’ai pas eu d’autre choix que de déménager en appartement. À 19 ans j’ai sauté dans le vide, j’ai perdu ma mère étonne travail était incertain. Je pire c que dans la même année j’ai appris que j’étais en grosse dépression et que je possédait un trouble de personnalité limite, youpii! Je crois que de créer la vie c’est une expérience extraordinaire. Je suis maintenant dans la vingtaine et mon conjoint et moi sommes enssemble depuis 4 ans,nous voulons plus que tous des enfants, mais avant nous devons avoir une situation financière stable et le plus important je dois gagner contre la dépressions.

    J’ai racconté mon histoire pas pour me plaindre, mais montrer une situation difficile qui peu arrivé à une personne qui n’a pas d’enfant, mais qui vie des moments de fatigue intenses et de découragement.

    Je démontre aussi avec mon histoire l’une des raison pour laquelle une personne peu ne pas avoir d’enfant.
    Pour moi, la dépression et la stabilité financière et pour d’autre, des situations semblable et/ou bien différente.

    Il y a des millions si ce n’est pas des milliards de situation différente et tent de partage que l’on peu faire entre nous, grâce à ça nous apprenons des uns des autres!

    C pourquoi l’opinion est très important, mais le jugement des autres n’est pas gratifiant!

    (Ce texte n’a pas été écrit pour créer un sujet de dispute !)

    Vous qu’elle sont vos raison de fatigue? Rien est considéré comme ridicule et/ ou inintéressant!

    • Lorsque j’écris que j’ai sauté dans le vide, ce n’est pas au sense propre, c’est une image que je saute dans l’inconnu de la vie !

      Et dsl pour les fautes de tape, je suis sur mon iPod, ça ne va pas super bien! ^ ^

  • J’en ai tu manqué un boutte moi là ou y’a juste la maternité pi le fait de courir chez Costco la fin de semaine et rusher entre la garderie, le travail et la maison qui permet d’être « quelqu’un » d’extraordinaire ? Ça dont l’air être pénible avoir des enfants, parlez-en à Bianca Longpré !

  • J’ai juste une chose à dire, moi j’en veux des enfants et j’en ai pas pour l’instant, donc j’écoute mes amies parler de tout leurs tracas concernant les enfants mais je ne peux pas rien dire car moi j’en ai pas et on se fait remettre à notre place…. Donc, aux parents, arrêter de vous plaindre à ceux qui non pas d’enfant si vous penser qu’ils sont trop bête pour comprendre… De plus, penser toujours que la personne qui vous écoute aimerais peut être etre a votre place mais malheureusement elle n’arrive pas à tomber enceinte

    • J ‘ ai une petite fille de 20 mois, Juliette que j ‘adore, même si elle est très (trop?) énergique et ne tient pas en place! Comme je bosse à mi-temps ( c est un choix mais en même temps c est le 1er CDI qu on ma proposé dans ma branche!) je passe 4 matins par semaine avec elle et c est parfois très dur.
      J ai un groupe d amies ( 3 amies) , aucune n ‘ a d’enfant, et jusqu au 1er anniversaire de la petite , tout allait bien, elles avaient des attentions, s intéressaient à Juliette, en faisait presque trop parfois, mais j ‘étais heureuse d ‘avoir réussi à garder cette vie sociale, ces amitiés précieuses, ces quelques verres entre copines 1 fois par mois,un semblant de ma vie d ‘avant dans le tsunami que représente la maternité..
      Et j ‘étais aussi très heureuse qu’elles aiment autant Juliette , c ‘était important pour moi
      Et puis après quelques discussions ( qui n ‘avaient pas avoir a Juliette ou la maternité) où elles ont été assez blessantes et dures à mon encontre je me suis permise de leur dire ce que moi aussi je pensais..
      J’ai également exprimé le fait que la maternité était parfois très dure et qu elles ne pouvaient pas comprendre. Ces propos sont toujours mal perçus par les non parents, ils sont pourtant très vrais, la responsabilité qui vous tombe dessus quand vous devenez parents, n est comparable avec rien, il n y a aucun mode d’emploi, aucune règle, aucune école pour devenir un bon parent. Vous pouvez quitter un boulot où vous êtes mal, quitter une relation amoureuse toxique, quitter votre pays, vous éloigner de votre famille.Mais un enfant il est à vous pour toujours, c est irréversible, et même quand on l a voulu autant que moi, cela fait parfois très peur, et rien n est comparable à ce sentiment si on n est pas parents.
      Progressivement et à la fois du jour au lendemain, mes copines ne m ont plus demandé de nouvelles de Juliette quand je les voyais, ( et cela s est bien espacé passant de 1 fois tous les 3 ou 4 mois , bizarrement, je suis la seule a avoir un enfant, et celle qui se rendait la plus disponible!) je leur ai demandé de venir boire un verre a la maison ( nous venons d acheter une maison ) et elles ne sont venues qu une fois en 9 mois, pretextant qu il est plus simple et plus agréable d’aller en ville pour se voir..
      Mais surtout plus récemment, une ( la plus agée 36 ans, pas d ‘enfant mais dit en vouloir) m a surtout reproché qu ‘ à chaque fois que l on se voit ( 2 fois en sept 1 fois en nov) je montre une vidéo ou des photos de ma fille) et que les autres mères qu elle connait ne font JAMAIS ça!
      je me rends compte qu effectivement nos sujets d intêrets ne sont plus les mêmes, je pense éducation, alimentation etc et elles parlent de leurs voyages , leurs boulots ou les trucs qu elles on acheté récemment.De mon coté ça me parait bien futile tout ça maintenant..
      En sachant que je ne suis pas le genre de mère qui parle pdt 40 minutes de sa fille, j’en parle forcément un peu vu que je passe 80pr cent de mon temps avec , mais je sais tt a fait parler d autre chose..je les trouve donc particulièrèmement injuste. En revanche, je suis comme beaucoup de mamans fière de montrer ma fille qui grandit et change..
      J ai fini par me mettre en colère et dis à cette dernière, je suis désolée mais si vous ne supportez pas de voir une photo ou une vidéo d ‘enfant tous les 3 mois c est pas la peine d en faire,
      C’etait assez méchant, mais elles me font beaucoup de mal depuis des semaines .
      J ai été à la place de ces femmes qui regardent les autres tomber enceintes en attendant leur tour, j en ai pleuré quand certaines accouchaient..mais je n ai jamais reproché a aucune de me montrer des photos de ses enfants, ni émis de critiques sur l éducation.Ne croyez pas que toutes les femmes sans enfants écoutent gentiment les soucis de leur copines mères ..Certaines ne vous écoute plus et surtout vous reproche d etre une mère.

  • Wow. C’est assez nombriliste comme texte.

    Donc si je comprends bien, les  »sans enfants » doivent vous écouter parler de vos enfants mais ne jamais donner de conseils (donc 90% du temps comme vous le mentionnez on se la ferme), toujours être reposé parce que la seule chose qui fatigue quelqu’un c’est être parent, et ne pas avoir de beau looks pour vous éviter de vous sentir mal pour votre look wal mart.

    Ca a l’air être super comme amitié 😉

  • Internet est une belle porte ouverte pour les plaignard(e)s en manque t’attention qui ont une vie pourrite du a leur choix non assumé… dans vie t’avance, tu ferme sa yeule, pis t’arrête de te peindre. Avec ou sans enfants…

    • En effet, Internet est une très belle porte ouverte pour les plaignards. Tu nous en fait une magnifique démonstration. Si tu n’aimes pas le texte, personne ne t’oblige à le lire.

    • tu participes aussi à ces commentaires…donc de quel droit dis-tu aux autres de se taire?

  • J’ai 28 ans encore jeune selon certain encore du temps pour prendre ma décision (la classique), en couple avec un homme merveilleux et belle-mère.. Et j’aime tout simplement pas ça ! Les enfants je n’en veux pas mais je ne jugerai jamais les parents ? Je suis travailleuse sociale ( je fais ma part en travaillant avec des familles et rien de rose la dedans) et feministe à mes heures et ces discours me font friser les oreilles… Qui sont les seules personnes à qui ces discours mettent de la pression ? Les femmes ! Parce que sinon un homme aurait le droit lui d’être fatigué ? Car lui il ne peut procréer donc on va l’écouter dans sa fatigue? C’est pas sa faute! Moi, je lève mon chapeau à toute les femmes sans enfant qui sont capable de vivre dans un monde ou tout le monde veut qu’on procréé! Si on commencait à écrire des textes sur les femmes avec enfant, on finirait pu à se lancer des bombes! Une chance qui a un bord plus satisfait de leur décision et plus zen que l’autre :), qui le prend sans attaque …à croire qu’on a bu notre café à matin tranquille qu’on a réfléchi en écoutant autre chose qu’une tune de ninjago pi c’est pour ça qu’on saute pas aux rideaux dans un blog…. Ahah 😉

  • Premièrement bravo pour le gros coup marketing! L’objectif est atteint vous avez fait le buzz, le monde parle de vous, vous êtes sorti de votre anonymat et votre site fait le plein de visites! En même temps c’est du recyclé et on était certain que la mayonnaise allait prendre. D’un côté le pro-enfants prêt à insulter celui qui n’a pas fait le même choix que lui, de l’autre celui qui est certain (ou presque!) de ne pas vouloir d’enfant et qui n’a pas vraiment envie de se faire apprendre la vie par celui qui qui en a. Bon je ne vais pas tourner autour du pot, je brise la glace… Je n’en veux pas. Je suis en couple et marié depuis 10 ans, des projets plein la tête et comblé sans enfant. La raison principale de mon égoïsme (comme certains le pensent…) c’est qu’il y a déjà assez de parents qui en ont fait sous la pression sociale et qui ont fait une belle connerie. Soit pour tenter de sauver leur couple où se sauver eux-mêmes. Se sauver des critiques de leur entourage et surtout des critiques de la société. Et il y a des gens comme vous qui pensent qu’un bon matin ils doivent dicter la vie des autres. Vous comprendrez que je ne suis pas vraiment d’accord avec votre approche totalitaire et que je prône plutôt la liberté de chacun. En fait la seule liberté que j’aimerais abolir est bien celle d’avoir des enfants sans en avoir la permission. Une sorte de permis de bons parents qui éviterait de mettre au monde pour une raison qui est bien trop souvent égoïste. Allez courage ! même si ceux qui regrettent d’en avoir fait (il y en a beaucoup malheureusement) ne peuvent pas s’en départir ils peuvent au moins leur transmettre leur frustration…. Pour un monde meilleur laissez donc les gens se poser la question: mais au fait pour quelle vraie raison je veux des enfants ? A vous lire je ne suis pas certain que vous ayez creusé le sujet.

  • Alors si on résume, les gens extraordinaires qui ont eu l’intelligence et la sensibilité d’avoir des enfants doivent tout dicter dans leurs relations avec les insignifiantes n’ayant pas (encore?) enfanté. Le lieu des rendez-vous (votre cuisine), les sujets abordés (les prouesses des petits, qu’on ne peut toutefois pas commenter parce qu’on ne connaît tellement pas ça) et le code vestimentaire (relâché de préférence). Quelle belle vision de l’amitié que la vôtre. J’ai hâte de lire votre prochain billet « à l’ancienne amie non-mère qui ne me parle inexplicablement plus depuis 3 ans ».

    Ce qui m’a le plus fascinée (je suis polie) dans votre texte est le passage qui concerne la fatigue. Vous aurez deviné que je suis célibataire sans enfant. Je consacre depuis des années une soixantaine d’heures par semaine à un travail que j’adore, qui me comble et qui fait ma fierté . Et qui oui, me fatigue le corps et l’esprit. Cette fatigue, je suis bien désolée de vous l’apprendre, mais elle n’est pas plus ni moins méritoire que la vôtre. Je la revendique, cette fatigue! Mes cernes ne sont pas moins vrais que les vôtres.

  • « Tu me le dis pas pour m’épargner mais je sais que tu penses que je devrais me payer un tout inclus d’une semaine aux Galeries de la Capitale et en profiter pour faire un croche chez Jacques Despars pour une métamorphose intégrale. »

    → A vrai dire j’évite simplement de juger fondamentalement les gens sur leur apparence physique ou de leur en vouloir parce qu’ils ont une meilleure dégaine que moi.

    « Deuxièmement, la phrase ultime que je ne veux plus t’entendre me dire, c’est que t’es fatigué. »

    → Un bon vieux classique, « Les gens sans enfants n’ont pas le droit d’être fatigué. » Tout le monde le sait, les childfree dorment quand les pondeurs triment. Et puis si l’empathie est unidirectionnelle, où va-t-on…

    « Pis, prends le pas personnel, mais m’inviter chez vous, c’est pas une option. Parce que chez vous c’est plate. Y’a pas de jeux de Pat Patrouille, zéro Monster High, pas d’émissions des Avengers et pas l’ombre d’un minigo. »

    → C’est pour ça qu’on t’invite toi et pas les enfants avec. Et si tu demandes pour les embarquer, on te prévient qu’ils s’ennuieront probablement. Pas la peine de dire qu’on s’emmerde chez moi…

    « Quatrièmement, évite de me donner des conseils sur la façon d’élever mes enfants. »

    → Tous les childfree n’ont pas la prétention de prodiguer ce genre de conseils. Donc évite de généraliser je te prie.

    « Le fait d’avoir gardé ta petite nièce tous les vendredis pendant deux mois ou d’avoir toi-même été un enfant jadis ne suffit pas pour que je t’accorde une quelconque crédibilité quand tu me dis que c’est normal que mon gars n’ait pas envie de manger ses carottes et qu’il demande quand même du dessert parce que toi aussi, quand t’étais petit, t’étais difficile. »

    → Visiblement les conseils pour éduquer, c’est un truc d’initier. Si l’avis des autres n’importe pas simplement parce qu’ils ne sont pas comme toi…

  • Oh boy… Ça me fait toujours rire de voir les complexes des « avec enfants. » HEY! Nous, les « sans enfants » (c’est juste moi, ou c’est dit comme une insulte…) on s’en fout de quoi vous avez l’air. Et oui, parfois il va m’arriver d’être fatiguée. Et guess what? OUI il peut arriver que je te le mentionne. Deal with it!

    Sérieux, là? Est-ce que les « avec enfants » sont devenus si immatures?

  • Je souhaite réitérer que cet article est une caricature humoristique et que la généralisation et le sarcasme sont mes principaux outils d’écriture. Je suis désolée que certaines personnes s’arrêtent au premier degré de mes propos et croient sincèrement que j’accorde des droits ou privilèges particuliers aux parents ou aux non-parents, ce qui n’est en aucun cas véridict. Je souhaite une bonne continuité à tous les parents et non-parents envers qui j’ai tout autant de respect. Merci !

    • Ca sent la jalousie mal placée plus que la caricature si vous voulez mon avis, et je suis pourtant un grand amateur de second degré. Mais peut-être que je me trompe, allez savoir…

      • En toute franchise, j’adore ma famille et j’adore ma vie. Mon article dépeint des propos que pensent plusieurs parents à un moment ou un autre de leur vie, aussi court soit-il, de façon sarcastique et généralisée pour faire sourire et non dans le but d’enlever quoique ce soit aux non-parents ou de donner une image de martyre aux parents. Ceci dit, la mauvaise interprétation est le grand danger du sarcasme et en bout de ligne, sarcasme ou non, chacun a tout à fait le droit d’en faire sa propre interprétation.

      • Et chacun est libre de penser ce qu’il désire…d’un côté comme de l’autre je trouve qu’il est triste de tomber sur ce genre de diatribes. Au passage, on peut adorer sa situation et en envier une autre. Tout comme on peut crier haut et fort quelque chose et se voiler la face en pensant ne pas en vouloir une autre.

        Après, le fait que « Mon article dépeint des propos que pensent plusieurs parents à un moment ou un autre de leur vie, aussi court soit-il, de façon sarcastique et généralisée pour faire sourire et non dans le but d’enlever quoique ce soit aux non-parents ou de donner une image de martyre aux parents.  » vienne maintenant, c’est peut-être pour cela que ça tourne dans les groupes childfree ? Quoiqu’il en soit, quand on joue sur l’ambiguïté, je présume qu’il faut assumer les haters de tout bord. Ou dire clairement ce qu’on pense ?

  • Je pourrais difficilement être en désaccord avec vos propos ! Quoiqu’il en soit, je suis déçue de voir que les gens prennent un texte humoristique de façon aussi personnelle. Mais je crains que l’humour comme le sarcasme soient deux grandes victimes des mauvaises interprétations, ce qui ne m’empêchera toutefois pas de poursuivre dans cette lignée qui n’est ni plus ni moins que mon style d’écriture. Au plaisir !

    • Vous vous adressez à une communauté, une – et c’est dommage – minorité qui a l’habitude d’essuyer les attaques pour leur choix de vie. Là où vous voyez de l’humour (si tel est réellement le cas), d’autres y voient une attaque personnelle. D’un côté comme de l’autre il y a des extrémistes. Des childfree qui crachent gratuitement sur les parents, et inversement. Et je pense que beaucoup de personnes sont déçues de voir que vous ne remettez pas en cause la teneur de vos propos. Personne ne décèle la moindre touche d’humour dans vos mots. Comme je vous l’ai dit plus haut, on y voit surtout une attaque maladroitement maquillée en « texte sarcastique ». Personne ne vous retient de dire quoique ce soit, de penser quoique ce soit. Il y a simplement le sentiment que vos propos, vous ne les assumez pas. Et à part dire que c’est du second degré (ce qui est difficile à penser vu la manière dont vous dépeignez les childfrees, vu la « litéralité » de vos mots), rien ne nous amène à le penser. Et donc rien ne nous amène à ne pas le prendre personnellement.

    • Lorsque vos railleries et vos sarcasmes touchent une grande partie de la population (20% des adultes sont sans enfant), il faut vous attendre à de nombreux commentaires. D’autre part, puisque vous faites partie de la blogosphère, il faut vous attendre aussi à ce que votre article soit véhiculé sur les réseaux sociaux et donc, soit sorti de son contexte initial. Donc, une bonne partie des lecteurs de votre billet ne connaissent pas forcément votre style d’écriture et votre façon d’être. Alors, ne les jugez pas d’effectuer une mauvaise interprétation de ce que vous dites. Les gens réagissent selon ce qu’ils lisent, tout simplement, et non selon ce qu’ils connaissent de vous. Il faut être venu ici et avoir pris connaissance de votre style pour comprendre un tant soit peu comment vous pensez.

      Par ailleurs, c’est dommage que vous ayez décidé de vous aventurer, vous aussi, sur ce terrain miné (je fais ici référence à la blogueuse Bianca Longpré, qui a dû justifier ses propos dans les médias suite à son billet, en février dernier). C’est dommage aussi que vous aussi, vous le fassiez en véhiculant autant de stéréotypes à propos à la fois des non parents et des parents. J’ai eu l’impression de lire quelque chose que j’avais déjà lu plusieurs fois dans le Huffington Post. Pas juste de la part de Bianca, mais de la part de blogueuses américaines du même style que vous. Je comprends que votre but était de parler de vous de manière autodérisoire, en vous comparant à votre amie sans enfant. Je saisis aussi votre style et votre manière de penser. Mais pour l’originalité, on repassera.

  • Haaa cet article me conforte dans mon choix , jamais je n’aurai d’enfants 🙂

  • On y est comme d’habitude : le discours infantilisant, réducteur et emplis de clichés des sacro-sainte mères de famille. Quoique je j’ai un peu d’espoir avec votre phrase  » C’est juste ton droit le plus absolu et fondamental de ne pas vouloir d’enfant » Hallelujah ! enfiiiin ! Mais comme d’habitude la déception est au rendez vous car ce qui est palpable c’est cette espèce de condescendance dont vous pouvez faire preuve quand vous parler des gens sans enfant et de leur éventuelles « maladresses » Je conçois que les gens sont enfant n’ont pas d’expérience à se niveau là, il est donc normal que certains comportement puissent vous irriter chez les childfree mais quand je lis des choses du style « Deuxièmement, la phrase ultime que je ne veux plus t’entendre me dire, c’est que t’es fatigué » Et oui madame, moi aussi je suis fatiguée, tellement fatiguée, si vous saviez, de dormir 2-3h par nuit, de ne pas avoir de repos les week end et les vacances et en ce qui me concerne c’est parce que je dois poursuivre mes études pour pouvoir trouver un boulot qui me permettras de manger. Si vous voulez porter un coup de gueule sur les gens qui vous irritent faites le avec plus de subtilité que ça par pitié, parce qu’honnêtement on est pas loin du « t’as pas d’enfant tu peux pas comprendre », En tout cas moi ça m’irrite de voir des manounes qui se prennent pour des combattantes ou des martyres alors que le choix vous appartient. Ma grand mre à élevée 3 enfants et 10 petits enfant à elle toute seule, je ne l’ai jamais entendue râler.

  • ben je te plains … bon, je vais boir un godet avec les copines puis je me pieute pour dormir jusqu’à pas d’heure demain 🙂 saluuuuuut ! 🙂

  • Premièrement cesse de nous donner des conseils le fait que tu as été sans enfant une partie de ta vie ce n’est pas assez pour pouvoir nous en donner…

  • Premièrement : une belle femme n’a pas besoin de claquer son salaire en fringues et soins derniers cris pour rester belle. Dame nature est souvent injuste.
    Deuxièmement : la fatigue, je ne vais m’étendre sur le sujet, ça me fatigue déjà mais dire ça à une personne malade et qui peut avoir mille et une d’être fatiguée, franchement j’assumerais pas même sous couvert d’humour.
    Troisièmement : celle-là, elle est à couper le souffle. Manquerait plus qu’on soit obligés d’investir en plus dans une salle de jeux chez soi pour les enfants des amis afin de recevoir. Si c’est le cas, on arrête de suite les cadeaux d’anniversaire, de Noël aux marmots. Je veux pouvoir encore me payer ma paire de chaussures top tendance pour me pavaner cet été.
    Quatrièmement : bien tiens, je mets de côté la politesse et je vais laisser la madame faire son long monologue sans rien répondre. On va voir ce qu’elle préfère : un long silence ou une réponse banale par ce qu’on ne sait pas toujours quoi répondre à ses banalités.
    Cinquièmement : ça n’empêche pas de parler des 10 % qui reste ne serait-ce que pour rendre l’appareille à la pauvre personne qui se farcit ces longs monologues depuis des années. Sait-on jamais, elle n’a pas peut être pas pu avoir d’enfant, elle mais elle écoute parce que c’est ça l’empathie !

  • je pense que cette personne est frustrée parce qu elle n assume pas sa parentalité ,mais ce n est pas une raison pour taper sur les femmes qui n ont pas eu d enfants. nous aussi ,on a nos soucis comme toutes les femme. et oui ,on a une vie. alors ,par pitie ,allez ennuyer quelqu un d autre.

  • My god ! Une chance que tu fais une mise en garde que c’est un texte HUMORISTIQUE devant être pris au second degré. Le monde sont dont ben gossant avec leur petite morale à 5 cennes pis leurs grands principes à décortiquer ton texte comme un article du code civil. Je suis toujours surprise de combien de gens ne comprennent pas le sarcasme et l’exagération propres à la caricature. Ils s’attendent à lire quoi au juste ? Un article scientifique sur la maternité ?? Tout en nuances fines… Je me demande c’est qui qui a de la misère à en faire des nuances…

    Moi ton texte m’a fait du bien, il m’a fait sourire et il peint une caricature de la mère qui a de la broue dans le toupette… Ce qu’on a toutes à l’occasion je crois. Ca me déculpabilise toujours de lire une mère qui dit que ‘oui’ ses enfants lui tapent sur les nerfs des fois, souvent etc… toute seule en dedans de moi j’ai tendance à dramatiser ces pensées là et c’est pas sain que ça fermente en secret, je m’en veux etc. Ca fait du bien de partager que ça fait partie de l’expérience bien complexe d’avoir des enfants (même si ben oui c’est mon choix etc etc), d’en rire et de passer à autre chose. L’humour c’est un excellent exutoire pour nos difficultés et aide à s’adapter. Merci pour ce bon moment de break.

  • Ce texte date, mais je ne peux m’empêcher d’écrire.
    Et en lisant votre préambule, je me dis que, peut-être, vous avez manqué votre but. Vous semblez fière de faire preuve de sarcasme, mais rappelez-vous que le sarcasme n’a pas vocation à faire rire les gens. Votre texte est d’une tristesse absolue. Je n’y décèle aucune joie, pas plus pour les parents que pour les non-parents.
    Et non, contrairement à ce qui est noté dans le commentaire précédent, ce n’est pas une caricature. La caricature grossit les traits à la loupe et tout le monde en prend pour son grade. Ce texte, qui finit par faire la part belle aux mères et aux parents, laissant à penser que leurs vies est plus belles que celles des gens sans enfants, n’est pas caricatural. Il lui manque un petit grain de folie. La caricature est supposée amuser même ceux qui sont la cible, ceux qui se reconnaissent dans les travers que l’on met en avant. Ce qui est loin d’être le cas ici.

    (Au passage, concernant ce précédant message : ne jamais oublier que certains ne comprennent pas forcément le second degré. C’est le cas de ceux qui ont des blessures ouvertes, trop ouvertes pour qu’ils puissent se protéger ou faire preuve de distance ; ou de ceux appartenant au spectre autistique, mon cas. Ce n’est pas un manque d’intelligence ou d’humour, loin de là. Mais les préjugés ont la vie dure…)

    Puisque vous utilisez consciemment le sarcasme, vous savez que vous allez fatalement provoquer, agacer ou (pire !) blesser vos lecteurs. C’est de l’ironie à destination de ceux qui n’ont pas d’enfants, à l’encontre de ceux qui ont décidé de suivre un chemin différent du vôtre (quand ils ont eu l’occasion de faire un choix, ce qui n’est pas le cas de tous, hélas) : ne vous étonnez pas si les réactions sont violentes. Le sarcasme peut être d’une cruauté sans nom, surtout quand la cible est facile. Les femmes sans enfants ne sont pas à l’abri, contrairement à vous qui êtes mère, et donc du bon coté de la barrière. Une femme sans enfants dérange, elle est une anomalie que l’on pointe du doigt. Vous perpétuez le trope de la « Connasse égoïste et incapable d’amour qui se prélasse à toutes heures de la journée » sans aucune élégance. Nous, les femmes sans enfants (pour mille raisons), sommes une minorité. Peut-on réellement s’amuser à dénigrer celles que la société dénigre déjà ouvertement ?
    L’humour, ce n’est pas enfoncer les portes ouvertes. L’humour nécessite du courage, et la parodie nécessite toujours de la bienveillance et de l’affection. Il demande à ce que l’on déchire son horizon. L’humour n’est pas supposé être une succession de lieux communs.
    Que vous soyez dans l’obligation de préciser que votre texte est humoristique dit tout. Quand c’est drôle, on n’a jamais besoin de le dire. Desproges, Dieu du sarcasme, n’avait nul besoin d’expliquer son humour, pas plus qu’il n’avait besoin de dire contre quoi il luttait, même quand il évoquait sa « fierté de vivre dans un pays où les Juifs courent encore »…
    Dans le cas contraire, c’est qu’il y a eu un accroc.

    Remercions les Dieux : tous les êtres sans enfants ne sont pas forcément ce que vous décrivez. Comme toutes les mères ne sont pas le parangon de l’amour sans limite. Peut-être n’avez-vous pas eu beaucoup de chance avec vos relations amicales ? Des donneurs de leçons, vous en trouverez partout.
    Votre vie est idéale, et j’en suis heureuse pour vous. Cependant, c’est un piège que de projeter vos idéaux sur votre voisine. Ce qui vous rend heureuse ne rendra pas nécessairement heureuse cette voisine. Ne mettez pas tout le monde dans le même panier ! Si vous veniez chez moi, vous seriez surprise de voir que les dessins animés sont toujours aussi prisés de la femme sans enfants que je suis (et, accessoirement, que ma plus proche amie est mère de deux enfants. C’est possible). Je ne suis pas non plus très coquette, peu m’importe d’être habillée à la dernière mode et pomponnée.
    Et bien sûr qu’il est difficile d’élever un enfant. Même sans en avoir, je sais que c’est difficile. Avoir des chats (cliché de la « vieille fille » aux milles chats), n’est déjà pas une mince affaire, n’est-ce pas ? Ce n’est pas rien d’élever un enfant, de faire en sorte que le monde ne l’abîme pas. J’admire ces mères qui bataillent au jour le jour et je suis la première à dire qu’elles ont le droit de se plaindre. On peut être heureux des choix que l’on a fait, et avoir de la gratitude, cela ne veut pas dire que l’on se doit d’accrocher un sourire sur la figure à longueur de journée.

    Ce que je regrette, c’est le mépris qui se dégage de votre prose. C’est peut-être pour ça que beaucoup ont réagi, en mal. Cette conclusion, par exemple. J’ose espérer, puisque vous avez eu le désir d’être mère, que vous n’échangeriez pas votre place avec la première non-mère venue ! Cela serait, en effet, terrible.

    Je pense soudain à Hugo : «Faire du mal joyeusement, aucune foule ne résiste à cette contagion. Les hommes dès qu’ils sont réunis […] ont toujours au milieu d’eux un bourreau tout prêt, le sarcasme.»

  • Second degré ou pas, ce texte est naze, je n’aime pas du tout cette façon d’alpaguer la copine sans enfants, genre « hé toi, t’as pas le droit de dire que t’es fatiguée » On choisit sa vie, tes enfants tu les a voulu, et même si c’est crevant faut arrêter le délire. C’est certainement pas le pire qui puisse arriver. A entendre les nouvelles mamans, c’est sur le net, c’est que du pleurnichage constant. Alors fermez-là, et mettez-vous dans les bottes de celles qui viennent vous voir à la mater, avec vos yeux brillants de bonheur et d’amour, et même après avec les cernes et tout, ces yeux là ne changent pas. Et lorsqu’on nous refuse le droit de ressentir ça, et qu’on en entend ces personnes se plaindre, ça donne envie de coller des baffes. Ma tante a élevé 4 enfants en étant très malade, mais elle ne se plaignait pas, et elle ne comprend pas trop les mères de maintenant qui se noient dans un verre d’eau dès leur premier enfant.

  • Quel mépris pour celles et ceux qui n’ont pas d’enfants!
    Certains ne veulent pas d’enfants et c’est leur choix… certains ne peuvent pas en avoir… eux aussi méritent le respect, surtout vu les chemins qu’ils doivent emprunter pour arriver dans un « cul de sac »…. d’autres ne trouvent pas le bon partenaire avec qui se lancer dans cette grande aventure …. et enfin, il y a du monde sur le point de devenir parents, mais qui perdent leur enfant (img ou autre raison)… et je fais partie de cette catégorie …je ne passe pas de nuit blanche au chevet de mon enfant… les nuits blanches, j’en passe à penser à mon enfant décédé, dans le silence et sans me plaindre!
    En méprisant de la sorte le monde sans enfant, vous vous moquez de la souffrance de bien des gens et des drames Silencieux qu’ils endurent…
    La prochaine fois, faites un billet sur couches jetables vs couches lavables… ce sera bien moins sensible comme sujet. Je serai même intéressée à le lire!

  • Je me baladais sur Internet très tranquillement tout simplement car j’ai des amis qui ont été des donneurs de leçons alors que… nous n’avions fait aucun jugement.

    En tant que mec, ce texte n’est tout simplement pas drôle et pourtant je suis fan du second degré, des blagues limites.

    Malheureusement ce texte blesse plus qu’il ne fait rire (pas rire du tout d’ailleurs, mais occupe ma journée de paresse 🙂 ).

  • L’article date un peu, mais il me fait réagir. Il me semble que l’empathie va dans les deux sens. Lorsque l’on demande aux gens de ne pas donner de conseils ou d’avis parce qu’ils ne connaissent pas la situation que l’on vit, la réciproque doit être vraie. Les personnes sans enfants ne sauront jamais ce qu’est d’avoir des enfants ; pas plus que vous ne saurez ce qu’ils vivent. Vous ne saurez pas non plus ce que vivent d’autres parents. Une personne sans enfant ne saura pas ce que vit une autre personne sans enfant. Chacun a ses problématiques, ses difficultés, ses joies, ses peines. Et ses fatigues. Nous avons tous des moments de fatigue intense, qu’elle soit dûe aux enfants dont il faut s’occuper après une nuit agitée, ou à tout autre facteur. Ce n’est jamais vraiment comparable, parce que les vies, les résistances physiques et émotionnelles de chacun et chacune ne le sont pas. Si on commence à hiérarchiser, on ne s’en sort pas. Et cela partirait du postulat que nous sommes tous parfaitement identiques et manquerait cruellement d’empathie, n’est-ce pas ?
    Quand au sarcasme, à l’humour dont vous avez voulu faire preuve, le problème est qu’ici vous visez une partie de la population qui est sans cesse prise à partie. On pense souvent le sujet léger ; il ne l’est pas. Les personnes sans enfant sont sans arrêt niées, remises en question, sur le ton de la « blague ». Ce n’est pas une thématique anodine parce qu’elle touche à ce que chacun a de plus intime, à ses souffrances, ses rêves, ses espoirs, ses douleurs. C’est un terrain miné où le sarcasme et l’humour de certains peuvent être terriblement dévastateurs pour le lecteur…

  • Si j’avais eu le temps et le courage de narrer ce que je ne cesse de me répéter dans mon cœur : sur ma vie de maman de tous les jours, à coup sûr j’aurais quasi écrit la même chose…et cette conclusion ! Le nombre de fois ou je me suis répété cette phrase entre 2 crises !!!

  • Je connais des mamans qui prennent soin d’elles et qui n’ont pas l’air non plus autant au bout du rouleau ! mais merci grâce à cet article je sais que je veux pas de mouflets ! parce que ça fait pas rêver ! franchement des fois j’ai l’impression que c’est plus dur d’avoir un enfant que de se battre contre un cancer … les mamans de maintenant me fatiguent .. toujours croire que son enfant est mieux que les autres, à mettre les enfants en compétition, pour savoir lequel ira le plus vite sur le pot .. C’est juste ridicule ! Parlez de vos enfants ne vous empêchent pas d’écouter les autres … Et si tu envie ma liberté parce que je n’ai pas d’enfants je te donnes ma vie. Il n y a pas que les enfants qui te privent de liberté, un fauteuil roulant te prive aussi de pas mal de choses (par exemple) !!! … Ce n’est pas parce qu’une femme n’a pas d’enfants qu’elle n’a pas une vie fatigante et stressante. Vous êtes en colère contre le regard des autres, mais vous faites la même chose, en pire … on juge pas votre éducation, c’est vous qui ne supportez pas qu’on fasse la moindre remarque à vos enfants … un enfant qui touche à tout chez moi si les parents ne sont pas capable de lui dire attention c’est fragile je lui dirais moi … Point .. les gamins qui coupent la parole ou qui se mêle de conversation d’adultes, si maman dit rien, moi je dis ! je m’en fou vous élever vos gamins comme vous voulez, mais nous on va pas se laisser taper ou insulter par un mouflet de 7 ans. Et puis chez moi si j’ai envie de dire merde putain ou fait chier c’est encore mon droit … si l’enfant répète c’est peut être qu’on a oublier de lui dire de ne pas dire de gros mots !!!!!!!!! mais osez dire que c’est de ma faute si le petit dit un gros mot, ç’est juste pas possible pour moi !!! De plus faites attention aux gens autour de vous. En tant que femme sans enfant, je passe beaucoup de temps et d’argent (noel anniversaire) dans les magasins de jouets pour faire des cadeaux aux petits de ma soeur, de mes amis … je ne demande rien en contre partie … les couples avec enfants ne sont pas aussi généreux avec les couples sans enfants .. Je pense que c’est vous les égoïstes, que vous pensez que c’est normal car pour vous la vie tourne autour de vos gamins .. mais non .. Vos gamins grandiront, rencontreront un ou une amoureuse et auront honte de vous … ils déménageront, et vous les verrez quasi plus … Et ce jour là la copine pimpante qui buvait un café avec vous et qui peut être jugeait votre look ben sera toujours là … … Pour tout le reste vous vous sentez jugez en tant que maman moi c’est parce que j’ai un chien … quand je dis « faut que je rentre ça fait 6h que mon toutou est tout seule, tout le monde se fout de moi genre c’est ridicule , c’est pire qu’un gamin .. Mais enfaite je m’en branle des autres et je vais pas écrire une page entières des gens qui jugent ma façon d’être .. On est comme on est … Moi je trouve tes gamins ultra chiants et mal polis, et alors ? m’en fou ce sont pas moi qui devront aller les chercher au poste de police, ou qui flipperait lorsque le téléphone sonnera à 4h du matin … Bon courage en tout cas, parce que si vous galérez déjà avec des mouflets, l’adolescence riqsue d’être rock’n’roll

  • On peut être fatigués aussi par la maladie ou des épreuves.
    En ce moment je dors pas assez car le manque affectif fait que je suis tendue. Le manque de sommeil existe
    Pour bien des raisons.
    Quant à ceux qui préfèrent prendre un drink car sinon rester chez soi au bout d un moments la solitude c est terrible.
    S il est admirable d être mère ça l esr aussi d’avoir le courage de vivre seule après une vie difficile.
    Donc je n ai pas non plus envie que l on me dise comment assumer la solitude car il faut l avoir vecupour comprendre.
    Même si je reconnais que ne pas avoir eu d enfants m a épargné des choses difficiles, parfois je me dis que ceux qui ont une vie de famille ont peut-être trouvé un sens à leur vie.
    Pour moi assumer les choses seule est difficile et j ai beaucoup de mal à trouver du sens à ma vie.
    Je trouve héroïque d avoir des enfants et héroïque aussi de vivre seule.
    Il ne faut pas idéaliser une situation juste parce que elle est différente de la nôtre.
    Toute médaille à son revers. C est pareil pour chaque situation.

  • Au fond on est juste tous tannés d’entendre des gens chialer. Surtout chialer des conséquences de leur CHOIX personnel. Le problème c’est le manque d’écoute et de compassion pour l’autre car tout le monde est fatigué de leur vie et aimerait des amis pour les supporters et voir le positif de la vie. On va se le dire se plaindre c’est chiant à entendre et c’est de l’énergie négative gratuite. Mais arrêtons de nous plaindre et soyons les amis qu’on aimerait tous avoir une dose de plainte car on est humain et 3 doses de rire, d’écoute et de compassion. Donner une attention gentille à ses amis c’est juste ça qu’il faut. Arrêtons d’être égoïste tout le monde. Le fait d’avoir des enfants ne fait pas de vous des gens moins égoïste. C’est vos enfants et votre choix. Mais je vous lève mon chapeau être parent c’est le plus beau cadeau mais un cadeau qui vient avec des conséquences difficiles à accepter au quotidien. J’aimerais que la vie de parents soient plus facile. Apprenons à être moins ingrat, jaloux et envieux. La vie parfaite ça n’existe pas. Une souffrance est une souffrance arrêtons de les juger et les dénigrer. Bref en gros parlons plus des choses qui vont bien ça changera le monde!

  • Un peu choquée par ce texte. Donc sans enfant, on ne peut pas être fatigué(e) ? Tout ce qui est carrière, étude le soir après le taff… Ou encore s’occuper de ses parents ou maladie ou autre… Non pas le droit d’être fatigué(e).
    Comme si on n’avait pas d’impératif de notre côté, nous les sans-enfants ? On est quoi par rapport aux parents ? D’la m*rde ?

    Me semble-t-il que les parents ont été des sans-enfants avant ; et se sont également plaints d’être fatigués, d’être débordés et autre ; non ?

    Je comprends cette fatigue de papa/maman mais de là à tenir ce type de propos. Je trouve cela complètement égoïste et nombriliste en fait. Et j’imagine que ce sentiment va dans les deux sens… Soyons donc plus tolérants et n’écrivons pas ce type de texte.

    Comme j’aime en rajouter une couche : me semble-t-il que personne (sauf cas exceptionnel) n’est forcé d’avoir des enfants. On a un enfant puis deux puis trois et on se plaint et on hurle que les autres qui n’ont pas d’enfants ne doivent pas être fatigués. Etrange de critiqer alors que l’on a fait un choix de vie qui est celui d’avoir des enfants, non ?

    Moi je vais te dire ce qui me lasse. C’est de voir ceux qui ont des enfants se plaindre POUR TOUT. On le sait, c’est dur. Un gamin ce n’est pas un jouet. C’est une extension de toi qui te prend ton temps, qui a besoin de toi constamment.
    Ce qui me fatigue aussi c’est d’entendre « profitez avant d’avoir des enfants », ou pire : « NE FAITES PAS D’ENFANTS ». Qui êtes-vous pour nous dire ça ?

    Donc chacun à sa place. Merci de respecter ceux qui n’en ont pas, par choix ou non.
    Merci de leur expliquer – si besoin – votre ressenti sans les juger si vous ne vous sentez pas assez écouté(e).
    Et merci de vous rappeler que VOUS avez choisi cette vie, qu’elle n’est pas simple mais que ce n’est pas une raison pour critiquer les autres qui en vivent une différente.

  • Je suis maman d’un enfant (un seul oui et par césarienne donc j’imagine que je suis moins une « reine » que les autres qui aiment se plaindre sans arrêt). Alors oui cet article est à prendre au second degré, mais pas tant que ça finalement ?
    Après je trouve que le net regorge d’articles du même genre donc aucune originalité, mais ça on le sait déja. Quand je vois ça, je me dis bon je ne suis pas la seule, mais aussi, bon encore un article sur les soit disant « wondermaman » qui pensent qu’ accoucher et élever des enfants est sur-humain (nos grands mères étaient carrément des extraterrestres ! Pas de péri et pas d’hommes aussi investi qu’aujourd’hui). Bref, ça fait du bien d’écrire ce genre d’article, mais arrêtons de nous en prendre aux autres et de se faire la guerre. Même si c’est à prendre au second degré je pense qu’il y a des hommes et des femmes « non parents » qui sont touché par ce type d’article absurde qui ne sert à rien. Alors arrêtons le combat de Zézettes et concentrons nous sur le positif. Oui c’est difficile d’avoir un enfant, mais c’est beau aussi (après encore une fois j’en ai qu’un…). Allez, salut les mamans papas et non parents, et profitez de la vie !

  • Mouais… les parents qui du jour au lendemain deviennent parents et qui donc pensent subitement tout connaître de la vie et donner des leçons aux autres d’un ton hautain et moralisateur, parce qu’en l’occurrence ces autres n’ont pas de gosses, on connaît le couplet ! Et par coeur ! Digne d’un de ces magazines de bas étage sur la pseudo-psychologie, vendu 1,50€ chez son marchand de journaux et qui permet de passer le temps l’après-midi dans son canapé à la « future mère » qui attend son premier. Finalement au fond tout ce qu’on peut retenir de ce torch.., euh cet article, c’est la complainte de ces pauvres mères courage, oohhh ben oui parce que mon dieeuuu les paauvvrees. Personne ne vous a forcé à faire un môme et les capotes ou la pilule ça existe… Alors pas de moral merci. Et puis ce cliché du célibataire sans enfants avec un chien, quel mépris ! Je préfère arrêter là au risque de devenir vraiment vulgaire. Et pour votre information, un chien ou plutôt pardon, « un animal », comme dit si bien dans l’article, ne s’élève pas, il s’éduque lui aussi ! Finalement le sans enfant pourra toujours donner des leçons à ceux qui en ont et il n’y a qu’à voir tous les jours dans la rue à quel point vous élevez bien vos mômes. Une aberration… La société se délite et vous en êtes les responsables ! De mauvais parents resteront toujours de mauvais parents et auront toujours des leçons à recevoir de ceux qui n’en ont pas, car eux ont le recul et l’objectivité qui vous manque, que vous le vouliez ou non !
    Allez ma grande, éteint ton ordinateur maintenant, t’as un fessier de gosse qui braille à aller torcher !

  • Comment voulez-vous avoir le respect, la compréhension l’ecoute et la compassion de gens qui vous entour et qui on fait des choix differents des vôtres si vous n’en faite pas autant pour eux ?? Chaque vie est importante , avec enfant ou non !

  • Bonjour,

    Ma parentalité est inassouvis
    Ma fierté au orties
    Ma sensualité
    Oublié
    Les enfants de nos vie
    Ne feront jamais partie
    Dans nos vie
    Dans gens racontant des inepties…

  • L’éternelle vision simpliste des mères de famille, devant lesquelles il faudrait toujours se mettre à genoux parce qu’elles ont LA bonne excuse d’une durée minimum de 15 ans : « moi, j’ai des enfants. » Pendant qu’elles ont la chance de travailler en général à temps partiel, les femmes sans enfant, qui triment à temps plein et n’ont pas des jours de congés supplémentaires pour enfant malade ou divers autres avantages, croulent de fatigue, car souvent victime de burn-out, n’ayant ni la joie ni la légèreté ou la détente dans la vie que pourrait procurer un enfant. Quand je vois les mères de famille qui se plaignent en permanence de leurs enfants, alors que les problèmes surviennent le plus souvent d’une mauvaise d’éducation. On ne peut généralement pas discuté avec une mère en présence de son enfant sans être interrompu en permanence, pour qu’elle réponde à celui-ci qui parle en même temps. Insupportable ! Il n’en était pas ainsi dans les générations précédentes. Il n’y a plus de hiérarchie dans cette société, où la parole d’un enfant de 5 ans prévaut à celle d’un adulte. Quand je vois les parents qui régissent toute leur vie, leurs activités du week-end en fonction de leurs enfants, mais qu’ils s’empressent de les envoyer chez les grands-parents pendant les vacances scolaires avec une réjouissance malsaine, pour moi, il y a là un paradoxe. Les nouvelles générations éduquent leurs enfants roi dans le sacrifice permanent, d’où leur frustration.
    En gros, si les parents d’aujourd’hui seraient moins les esclaves de leurs enfants, il seraient peut-être moins fatigués.

  • Bonjour,

    Si cela peut vous aider, à 42 ans je voulais tomber enceinte, un moment de ma vie très difficile, après 2 fausses couches et de nombreuses tentatives sans succès, mon gynéco m’annonce un ‘trouble de l’infertilité’ alors que j’avais tout essayé.
    3 ans plus tard, bien sûr j’y croyais encore, le miracle et arrivé 2 mois après avoir découvert la bonne méthode !! regardez bien la vidéo jusqu’au bout voici les site internet qui m’a aidé à tomber enceinte et que
    je vous recommande http://bit.ly/miraclede-lagrossesse.
    Je vous souhaite à toutes d’éprouver de le bonheur d’avoir un enfant, c’est la plus belle des choses qui me soit arrivé.

    Merci pour votre site cordialement?

  • Bonjour,

    Comme beaucoup je trouve dommage que le texte, principalement humoristique à la base je l’ai bien compris donc je ne m’en fourvoie pas plus que ça, se veuille si généraliste et au final si peu tolérant envers les non-parents.

    Si certains ont choisi de ne pas avoir d’enfants, ça peut parfois être justement pour s’éviter tout ce dont vous parlez. Alors pourquoi devraient-ils considérer comme normal d’avoir à subir, à ressentir, ou même pire, à COMPRENDRE ce qu’ils ont sciemment chercher à éviter d’eux même, par l’intermédiaire des personnes devenues parents par choix ?

    On peut faire preuve d’empathie, de compréhension en effet, et être d’accord sur le fait qu’il y a des compromis à faire avec nos amis parents lorsque l’on n’est nous-même pas parent. Mais les compromis c’est comme tout, ça doit aller dans les deux sens.
    Alors non, les non-parents ne devraient pas forcément avoir à trouver normal de subir les récits interminables des péripéties de marmots qui ne sont pas les leurs, ni de se faire accuser d’avoir du temps pour prendre soin de lui ou pouvoir faire tranquillement ses nuits et encore moins d’être fatigué pour des raisons qui ne regardent que lui (car y’a pas que les enfants qui fatiguent dans la vie malheureusement, la vie elle-même est déjà bien assez fatigante au quotidien pour certains).
    Pour être plus simple, il ne devrait aucunement y avoir de hiérarchie entre les parents et les non-parents!
    C’est comme pour tout dans la vie, chacun sa m***e comme on dit. Le plus important ça reste uniquement d’avoir le choix et surtout de l’assumer.

  • Bonjour,
    Chacun ces choix si vous avez choisi d’être parent cessez de vous plaindre. Personne ne vous y a obligé !Assumez!

  • Bonjour; effectivement avoir des enfants n’est pas évident ; on vit à leur rhytme. Mais nous le choisissons alors il faut arrêter de se plaindre. Les personnes n’ayant pas d’enfant font au quotidien se que vous n’avez pas le temps de faire … et ces personnes travaillent à temps plein pour payer les impôts à plein pot . Vous vouliez des enfants alors assumez les . Les sans enfants payent les retraites des anciens et nos bambins payerons les nôtres . Il n’y a pas de « ils nous doivent ou pas «  Non je suis navrée ils ne doivent rien . Vous voulez des enfants alors il faut assumer . Il fallait réfléchir avant de déporter votre mal être pour assouvir votre faire comme tout le monde . Les sans enfant n’ont pas à éduquer financièrement vos enfants ; déjà que les impôts sont plus élevés que la plus part .

  • Ce texte est certainement plein de tendresse malgré tout…enfin je l’espère…..moi, la Child free, je pourrais répondre que si ma fatigue vous semble « exagérée », vous les super maman, vous êtes pas non plus sans oeillères. Si je chronométrais les temps de plaintes que les maman utilisent, face à leur temps d’expression de joie, ce serait fort intéressant. « Je n’ai pas dormi cette nuit, il a vomi » « Il a fallu que je range ceci pour lui » « Les devoirs ont été une cata » etc….mes copines ne sont que plaintes et re-plaintes. « On ne dort pas » « on a un oedème vulvaire » « je passe mon temps à faire des machines » « je suis un frigo à lait »  » c’est la rentrée » « les vacances je n’en peux plus pas 5 minutes pour moi »……bref…….on se plaint peut être de nos fatigues, mais vous vous plaignez de vos petits en permanence. Et quand on me regarde en me disant : et toi? …je réponds fréquemment: ca fait 45 minutes que tu te plains de ton gosse et de la vie que tu mènes, et tu pense que je vais m’y mettre? Sincèrement ça ne donne pas envie…..ce à quoi les mères répondent invariablement:  » ah mais non, tu sais, c’est la plus belle chose du monde »…… Moi je crois qu’il n’y a pas de rêgles, et que le regret d’être mère existe, même s’il est encore tabou.

  • Je suis ambivalente sur cet article… Pourquoi on dirait toujours qu’il y a une compétition entre adultes avec enfants et adultes sans enfants? Pourquoi on ne peut juste pas vivre tout le monde comme on le souhaite, sans jugement ? Quand un couple d’amis a des enfants, tout le monde doit s’adapter, incluant le cercle d’amis. Certes, je peux comprendre que c’est un plus grand changement pour les nouveaux parents, mais les amis doivent aussi s’adapter à la nouvelle réalité. Et pourquoi faudrait-il être gêné de dire qu’on est fatigué même si on n’a pas d’enfants ? Pourquoi ne pourrait-on pas le dire qu’on s’ennuie de nos amis et de la vie d’avant? Pourquoi ne pourrait-on pas donner des conseils, même quand on n’a pas d’enfants, ne serait-ce que pour comprendre la réalité des parents et entamer une discussion, un échange ? C’est aussi ça l’amitié. Tsé, les sans enfants, par choix ou non, on n’est pas tous des cons 😉

  • En lisant votre texte j’entends en fait quatre choses :
    Vous avez l’air fâchée et ça vous rend méchante. Votre billet contamine au lieu de contribuer à la discussion.
    Vous semblez sentir le besoin de vous justifiez, peut être n’assumez vous pas autant votre choix que vous le prétendez.
    Vos amitiés sont apparemment malsaines, De part et d’autre.
    Les personnes sans enfants ne comprendront jamais ce que c’est qu’avoir un enfant, ça va de soi. En contrepartie, vous ne comprendrez jamais ce que c’est que de se sentir complet.e et suffisant.e en soi. Sans la béquille des enfants.

  • Ce genre de personne egocentrique, qui pense que toute la terre tourne autour d’elle, qui passe son temps à se plaindre mais à qui on ne doit rien dire. Perso e toxique à fuir de toute urgence qu’elle soit maman ou non.

  • Excusez nous d’en avoir marre d’avoir des copines mère aux téléphones et d’entendre leurs enfants leurs parler sans cesse pendant que tu cherche juste une oreille qui veuille bien t’écouter, excusez vous donnez notre opinion sur comment vous gérez vos enfants, parce que même si ont a pas d’enfant, ont sait reconnaître les enfants mal élevé, désolée de ne pas être trop chaud pour aller dîner chez vous et d’entendre brailler des enfants toute la soirée et de ne pas pouvoir profiter de nos amies devenue parents, désolé de comparer l’éducation d’un animal avec celui d’un enfant, mais bon faut avouer qu’ils se ressemblent quand même un peu, désoler d’en avoir marre de vous entendre parler de vos enfants et de voire leurs photos a longueur de journée, car au fond on s’en fout et de devoir faire semblant de s’y intéresser c’est usant, désoler pour vous que votre vie sur terre se résume uniquement a être parent et de vous oublier en tant que femme.

  • Bonjour,
    Je viens de lire votre article et je dois lire que je le trouve un « tantinet » exaspérant. Il alimente les divisions entre les mères et les « non-mères ». Il véhicule tous les préjugés possibles et imaginables. Je constate souvent dans mon quotidien que les non-mères sont compréhensives à l’égard des mères, et aidantes vis-à-vis d’elles. Et heureusement, certaines mères ont l’esprit suffisamment ouvert pour comprendre que la vie d’une non-mère ce n’est pas de s’occuper de son nombril, de remplir sa garde-robe et de soigner sa silhouette dans une salle de sport. Elles ont bien évidemment leurs difficultés de vie. Elles ont leurs contraintes et parfois pas des moindres. Le respect mutuel devrait être la seule ligne de conduite que l’on devrait suivre.

  • je voudrais savoir ci vous ete une ressource pour une regression bebe adulte abdl as tres long terme.merci

  • je voudrais savoir ci vous ete une ressource pour une regression bebe adulte abdl as tres long terme..
    merci

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